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Présentation

  • : Le blog de l'Amicale des Anciens de la Légion Etrangère d'Indre-et-Loire
  • : Ce blog présente toutes les activités de l'Amicale. Vous êtes invités à transmettre vos textes et photos pour enrichir ce blog soit en contactant le Président soit en écrivant à zeraldavert@gmail.com
  • Contact

Profil

  • AALE 37
  • Pierre LORAILLER 
- Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES 
- Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 
- Délégué AALP Région Centre.
  • Pierre LORAILLER - Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES - Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 - Délégué AALP Région Centre.

A.A.L.E. 37

Buts : Entretenir et développer les sentiments de camaraderie et de solidarité qui caractérisent la Légion Etrangère.

Pérenniser le souvenir du Combat de Camerone.

 

Président :

LORAILLER Pierre

Mail : zeraldavert@gmail.com

 

Composition du bureau directeur :

Président d’Honneur : Général de Brigade (2S) BREUILLE Eric (Ancien Chef de Corps du 1er REG)

Vice-Président : BERTHE Francis  (Ancien du 2ème REP)

Secrétaire et Trésorière : Mlle THERET Nadine

 

Administrateurs :  

DUPUIS Rémi

LEBIGRE Yannick

THERMEAU Jean-Claude

 

Contrôleur aux Comptes :

BERGEOT Dominique

 

Porte-drapeaux :

BENYAHIA Hikmat

GAUTIER Dominique

 

Recherche

Musique

22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 19:25
Written by Constantin LIANOS    link
Thursday, 15 November 2012 12:52

Le 2ème REG a participé comme chaque année aux cérémonies commémorant l’armistice du 11 novembre 1918, en assurant une présence sur pas moins de sept piquets d’honneur.

Cérémonies du 11 novembre, le 2ème REG sur tous les fronts

Comme chaque année, les légionnaires du 2ème REG ont participé aux cérémonies commémorant le 94ème anniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918. Chaque compagnie avait ainsi déployé un piquet d’honneur dans sa commune de jumelage : St Christol pour la 5ème compagnie, Banon pour la CAS ou Sault pour la CCL.

Une importante délégation a pour sa part participé aux cérémonies sur Apt en présence des  autorités civiles et élus locaux. Une démonstration de matériel avait également été organisée place de la Bouquerie afin de présenter aux aptésiens les savoir-faire du 2ème REG. Un VAB de commandement (véhicule de l’avant blindé), un PVP (petit véhicule protégé) et un VAC (véhicule articulé chenillé) particulièrement utilisé lors des déplacements en montagne, avaient ainsi été déployés. Petits et grands ont pu également échanger avec nos commandos montagne qui ont fait découvrir une partie de leur matériel employé sur leur mission de renseignements.

Cette cérémonie s’est conclue par un défilé de la 2ème compagnie qui a fait une forte impression aux aptésiens venus en masse les applaudir.

Parallèlement, le chef de corps et la garde au drapeau étaient présents à Paris pour la cérémonie, en présence du chef de l’Etat, sous l’Arc de Triomphe. Le président de la République a en effet tenu à rendre hommage, cette année, aux soldats morts pour la France et en particulier ceux tombés en Afghanistan. En quatre années d’engagement dans ce pays, le 2ème REG a perdu cinq des siens dont quatre l’hiver dernier. A cette occasion, la famille du caporal Goran Franjkovic décédé le 14 novembre 2011, avait fait le déplacement depuis la Serbie, pays d’où était originaire notre frère d’arme, et fut reçu par monsieur Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense.

Enfin, le samedi 10 novembre, le chef de corps ainsi qu’un piquet d’honneur étaient présents sur la commune de Saint-Martin-Lalande (Aude) afin de rendre un hommage au major El Gharrafi, décédé en Afghanistan le 29 décembre 2011. En présence de sa famille et de nombreuses autorités civiles, son nom a été inscrit sur le monument aux morts de cette commune ou il résidait.

Le chef de corps, le colonel BONINI a déclaré que le major El Gharrafi était « une vigie qui doit nous interpeller et qui nous rappelle que la paix se défend parfois au prix de sa vie »

Cette vie, les légionnaires qui sont des étrangers au service de la France, sont prêts à la donner pour leur pays d’adoption.

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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 19:21

JORF n°0268 du 17 novembre 2012 page 18225
texte n° 35

 


NOR: ANCM1239011A


Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants, en date du 23 octobre 2012 :

I. ― Sont nommés membres de la Commission nationale du diplôme d'honneur de porte-drapeau :


En qualité de membre du conseil d'administration
de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre


Titulaires :
M. Beauchesne (Jean-Pierre).
M. Bouares (Hocine).
M. Delaye (Derwich).
Suppléant :
M. Attar-Bayrou (Laurent).


En qualité de représentant d'association œuvrant
pour la sauvegarde du lien entre le monde combattant et la nation


M. André (Jean-Claude).
M. Cristiani (Jacques-Dominique).
M. Verdier (Pierre).
II. ― L'arrêté du 13 octobre 2006 portant nomination des membres de la Commission nationale du diplôme d'honneur de porte-drapeau est abrogé.

 

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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 19:15

Source, journal ou site Internet La croix

Date : 20 novembre 2012

Auteur :  Antoine Fouchet


Deux ans après sa mort, les restes de l’ancien commandant des parachutistes coloniaux sont transférés, mardi 20 novembre, au mémorial des guerres d’Indochine de la cité varoise. L’ancien président Valéry Giscard d’Estaing était sur place pour rendre hommage à son ancien ministre. Les cendres du général Marcel Bigeard ont été transférées mardi 20 novembre au mémorial des guerres d’Indochine à Fréjus (Var), lors d’une cérémonie d’hommage en présence de l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing, du ministre de la défense Jean-Yves Le Drian et du ministre délégué aux anciens combattants Kader Arif. Cette cérémonie est l’aboutissement de deux ans de controverses sur la destination des restes de l’ancien résistant et baroudeur des guerres coloniales, devenu secrétaire d’État à la défense de Valéry Giscard d’Estaing, puis député et écrivain.

De Dien Bîen Phu à  Alger

Commandant des parachutistes coloniaux, Marcel Bigeard a attaché son nom à la guerre d’Indochine, notamment à la chute de Dien Bîen Phu, puis à la guerre d’Algérie, surtout à la bataille d’Alger. Longtemps plus tard, au début des années 2000, après les révélations du général Paul Aussaresses sur l’existence de la torture, il a justifié l’usage de cette dernière en Algérie comme « un mal nécessaire », tout en affirmant ne l’avoir jamais pratiquée lui-même.

Il souhaitait que ses cendres soient dispersées

Avant de mourir le 17 juin 2010, dans son domicile à Toul (Meurthe-et-Moselle), à l’âge de 94 ans, Marcel Bigeard avait souhaité que ses cendres soient dispersées au-dessus de Dien Bîen Phu. Mais ses dernières volontés s’étaient heurtées au refus des autorités vietnamiennes. L’urne contenant ses restes était, depuis, entreposée au crématorium de Nancy.

Transfert aux Invalides compromis

Fin 2011, le gouvernement Fillon annonçait leur transfert à  l’Hôtel des Invalides, où reposent les gloires de l’armée française. En réaction, des élus souvent proches du PCF, des associations et des intellectuels de gauche avaient aussitôt fait circuler une pétition pour s’opposer à cet hommage, en raison du rôle joué par le général lors de la guerre d’Algérie. Plusieurs officiers supérieurs et députés UMP soutenaient au contraire le transfert aux Invalides, estimant que Marcel Bigeard avait été « un grand chef militaire ». Après l’élection de François Hollande à la présidence de la République, Jean-Yves Le Drian, nouveau ministre de la défense, a essayé de trouver une solution en concertation avec la famille du défunt. S’est alors imposée l’idée de transférer Marcel Bigeard au côté de ses compagnons d’armes d’Indochine, à Fréjus. Des personnalités de gauche ont de nouveau manifesté sur Internet leur hostilité à tout hommage officiel au général Bigeard.

À Fréjus, les corps de milliers de soldats

La cérémonie s’est déroulée à midi sur le site de la nécropole nationale qui abrite les corps de milliers de soldats morts en Indochine. La date retenue, mardi 20 novembre, est la date anniversaire de l’opération Castor, au cours de laquelle Bigeard a sauté en 1953 sur Dien Bîen Phu à la tête de ses parachutistes.

Hommage de Giscard à  son ex-ministre

Valéry Giscard d’Estaing a, avant l’inauguration d’une stèle, prononcé un discours en hommage à celui qu’il avait appelé au gouvernement, en janvier 1975, pour mener des réformes au sein des armées, gagnées par la contestation face à une condition militaire jugée détériorée. Cette mission ministérielle dura une année. Marcel Bigeard fut ensuite député UDF de Meurthe-et-Moselle de 1978 à 1988. Après quoi, il se retira dans sa maison de Toul, où il écrivit des ouvrages racontant sa carrière militaire ou proposant ses réflexions sur l’évolution de la France. Ses funérailles ont eu lieu en la cathédrale de Toul, le 21 juin 2010.

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 11:34

Monsieur Légionnaire  link

Thursday, 08 November 2012 11:45

Le rapporteur UMP François Cornut-Gentille a évoqué « un budget largement dans la continuité » de ceux qui ont été présentés ces cinq dernières années.

L'Assemblée nationale a adopté mercredi soir le budget de la Défense de 31,4 milliards d'euros pour 2013, un montant quasiment stable par rapport à 2012 dans l'attente du Livre blanc qui définira les nouvelles priorités stratégiques de la France. La gauche a voté pour, l'UMP contre, les centristes se sont abstenus.

Un budget qui selon le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, tient compte de la nécessité de redresser les finances publiques, tout en garantissant « les ressources essentielles de nos priorités les plus cruciales ».

Au premier rang de ces priorités, il a cité « l'entraînement et la préparation opérationnelle des forces » et l'entretien de leurs matériels. La Défense devrait ainsi bénéficier en 2013 de 30,1 milliards de crédits budgétaires, et de recettes exceptionnelles provenant de cessions immobilières et de fréquences radio pour un montant attendu de près de 1,3 milliard d'euros.

Le projet prévoit 7.200 nouvelles suppressions de postes, dans le cadre de la politique de réduction du format des armées entamée en 2009. 22.000 militaires et civils devraient être parallèlement recrutés en 2013, la Défense restant l'un des premiers recruteurs de l'Etat.

Le texte entérine par ailleurs des « reports de commandes et de livraisons » d'équipements pour un montant de 5,5 milliards d'euros. Les crédits d'équipement s'élèveront à 16 milliards, pour financer notamment les programmes lancés dans le cadre de la Loi de programmation militaire de 2008.

Le rapporteur UMP François Cornut-Gentille a évoqué « un budget largement dans la continuité » de ceux qui ont été présentés ces cinq dernières années, tout en mettant en garde contre « le risque de déclassement des armées », avec un effort de Défense qui ne représente plus qu'environ 1,5% du PIB de la France.

Livre blanc attendu en février

Comme annoncé par le président François Hollande, le budget sanctuarise les crédits de la force de dissuasion nucléaire dans ses deux composantes, sous-marine et aéroportée, à hauteur d'environ 3 milliards d'euros. Un amendement des députés écologistes visant à supprimer ces crédits, pour relancer selon ses auteurs le débat sur le sujet, a été rejeté.

Au moment où les troupes françaises se retirent d'Afghanistan, l'enveloppe destinée à financer les opérations extérieures des armées (Opex) est par ailleurs maintenue à 630 millions d'euros.

Avec ce budget 2013, la défense participe à l'effort d'économie sans anticiper les conclusions du Livre blanc. « Il n'est pas possible d'affecter à la défense des ressources qui n'existent tout simplement pas », a prévenu la présidente de la commission de la Défense de l'Assemblée, Patricia Adam (PS), membre de la commission du Livre blanc.

Lors de la discussion en commission, les chefs d'état-major des armées avaient mis en garde les députés contre des décisions irréversibles qui compromettraient les capacités opérationnelles des armées.

Attendu en février, le Livre blanc permettra d'élaborer la future loi de programmation militaire pour les années 2014-2019. Il devra redéfinir les priorités françaises en matière de défense en fonction des nouvelles menaces, tout en tenant compte de la nécessité de réduire les déficits. « J'attends du Livre blanc une cohérence entre les ambitions que l'on formule et les moyens dont nous disposons », a souligné le ministre.

SOURCE AFP
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7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 21:10
Written by Constantin LIANOS    link
Monday, 05 November 2012 18:20

De : La Saint-Cyrienne
Envoyé :
lundi 5 novembre 2012 18:00
À :
constantin.lianos(at)monsieur-legionnaire.org
Objet :
2e communiqué spécial relatif au 19 mars 1962


2e COMMUNIQUE SPECIAL

Proposition de Loi sur le 19 mars 1962

Un risque grave de division !!

Seule une mémoire partagée peut renforcer la cohésion nationale


Le Comité d’Entente, représentant plus d'1.200.000 adhérents, a pris acte du report au 8 novembre 2012 (au lieu du 20 novembre initialement annoncé) de la discussion en cours, au Sénat, visant à faire du 19 mars une journée nationale à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des évènements en Tunisie et au Maroc.


Il souhaite que les dernières heures à venir contribuent à approfondir toute réflexion individuelle ou collective sur les risques de division que générerait une telle loi. En effet le début de la discussion, le 25 octobre, a confirmé la profonde divergence entre parlementaires et aussi entre anciens combattants sur le choix de cette date de commémoration. Cette proposition de loi, exhumée 10 ans après son vote à l’Assemblée, n’est ni opportune ni utile sinon pour satisfaire deux associations minoritaires au détriment de l’ensemble des combattants d’Afrique du Nord et des Français en général.

Le Ministre délégué aux Anciens combattants, M. Kader ARIF, n’a d’ailleurs pas souhaité s’engager et s’en remet à la sagesse du Parlement.


Le 19 mars ne peut pas être une date de recueillement car il rappelle, hélas, pour trop de Français, le deuil et l’exode. S’en tenir au 19 mars serait bafouer la mémoire des dizaines de milliers de harkis massacrés après cette date, comme celle du million de nos compatriotes victimes d’une véritable épuration ethnique. Faut-il rappeler qu’il s’agissait notamment de descendants des révolutionnaires de 1848, des patriotes d’Alsace-Lorraine, enfin des anciens républicains espagnols exilés, refusant la dictature et tous ceux qui se sont engagés, plus que d’autres, dans les campagnes de la Libération de la France entre 1943 et 1945. C’est aussi leur voix qu’il faut écouter, c’est celle des Français.


Lorsque la Nation a voulu honorer ceux qui ont donné leur vie pour la France dans tous les conflits, le Parlement, à sa très grande majorité, a voté le 28 février dernier une loi que l’on peut qualifier de « mémorielle », retenant le 11 novembre comme journée de commémoration pour tous les morts pour la France. Cette loi exclut la suppression de commémorations existantes, officielles comme associatives.


Une nouvelle loi serait superfétatoire venant notamment de sénateurs qui avaient voté la loi du 28 février dernier. Aussi le report de cette discussion s’avère une opportunité à saisir pour s’interroger sur son bien-fondé.


En s’inspirant de personnalités aussi différentes que le Général de Gaulle ou François Mitterrand, qui l’un comme l’autre avaient refusé cette date, chaque sénateur devrait pouvoir s’exprimer en son âme et conscience. Soit rejeter cette proposition de loi au nom de l’unité et d’une mémoire collective apaisée, confirmant le sens du vote de la loi de février dernier, soit choisir de réveiller une division profonde entre Français de toutes catégories et de toutes origines, en la votant pour satisfaire une fraction minoritaire du monde combattant.


Une telle « loi mémorielle » votée à une courte majorité, serait certes légale mais sans légitimité faute de consensus national.


Depuis février 2012 les 30.000 soldats morts ou disparus d’Afrique du Nord ont toute leur place au Panthéon des tués de toutes les guerres honorés maintenant chaque 11 novembre, même quand les derniers anciens combattants d’Algérie, du Maroc et de Tunisie, auront disparu. Accrocher leur mémoire à une date spécifique, comme le 19 mars, c’est finalement les condamner à l’oubli.


Toutes les associations signataires du monde combattant et du monde civil, représentant plus de 1.200.000 adhérents, mettent à nouveau en garde les représentants de la Nation sur le risque grave de division au moment où l’unité nationale n’a pas besoin d’épreuves supplémentaires.


Le Général de corps d’armée (2S) Dominique DELORT

Président du Comité d’Entente

Président de la Saint-Cyrienne


Liste des associations signataires du Communiqué


- Société des Membres de la Légion d’Honneur (SMLH)

- Le Souvenir Français

- Fédération Nationale André Maginot (FNAM)

- Union Nationale des Combattants (UNC)

- Union des Aveugles de Guerre (UAG)

- UBFT «Les Gueules Cassées»

- Association amicale des élèves et anciens élèves de l’Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr, La Saint-Cyrienne

- Association des anciens élèves de l’Ecole Navale (AEN)

- Association des anciens élèves de l’Ecole de l’Air (AEA)

- Société d’entraide des élèves et anciens élèves de l’école des officiers de la Gendarmerie Nationale (Le Trèfle)

- Association Nationale des Réservistes de la Gendarmerie Nationale (ANORGEND)

- L’Epaulette, Association d’officiers de recrutement interne et sous contrat

- Association Nationale des Officiers de Carrière en Retraite (ANOCR)

- Association des Anciens Elèves du Prytanée National Militaire (AAEPNM)

- Association des Combattants de l’Union Française (ACUF)

- Association des Anciens Enfants de Troupe (AET)

- Association Nationale des Anciens et amis de l’Indochine et du souvenir indochinois (ANAI)

- Association Nationale des Commissaires de la Marine (ANCM)

- Amicale de l’EMSST (MINERVE)

- Promotion Victoire Coëtquidan 1945

- Association Maréchal Lyautey

- Amicale des Anciens Combattants Indochinois

- Association Nationale des Anciens Prisonniers et internés déportés d’Indochine (ANAPI)

- Les Amis de Saint-Cyr et Coëtquidan

- La Fraternelle Militaire

- Union Nationale de l’Arme Blindée Cavalerie et Chars (UNABCC)

- Union Nationale de Coordination des Associations Militaires (UNCAM)

- Union Nationale des Associations de l’Aviation Légère de l’Armée de Terre (UNAALAT)

- Union Nationale des Anciens Combattants d’Indochine, des TOE et d’AFN (UNACITA)

- Union Nationale des Sous-officiers en Retraite (UNSOR)

- Association Nationale des Participants aux Opérations Extérieures (ANOPEX)

- Association Nationale des Réservistes de l’Infanterie (ANORI)

- Association Nationale des Croix de Guerre et de la Valeur Militaire (ANCGVM)

- Union Nationale des Parachutistes (UNP)

- Fédération Nationale de l’Artillerie

- Fédération Nationale des Sous-officiers de Réserve (FNASOR)

- Fédération Nationale des Amicales de Chasseurs à pied, alpins et méca (FNAC)

- Association Nationale des Cadres de Cherchell, Officiers de réserve et élèves(ANCCORE)

- Union nationale des Officiers de Réserve (UNOR)

- Fédération pour le Rayonnement et l’entraide des Soldats de Montagne (FRESM)

- Fédération des Sociétés d’Anciens de la Légion Etrangère (FSALE)

- Fédération Nationale des Anciens d’Outre-mer et Anciens Combattants des Troupes de Marine (FNAOM/ACTDM)

- Association de Soutien à l’Armée Française (ASAF)

------

L'AACLEM est affiliée à la FSALE et partage totalement et sans réserve le sens du 1er et 2ème communiqué du Comité d’Entente

Lieutenant-colonel (er) Constantin LIANOS

Président de l'AACLEM

Last Updated on Monday, 05 November 2012 18:46
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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 11:17
LIBRE OPINION : Messieurs les politiques, attention DANGER!      

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Jeudi, 01 Novembre 2012 18:26

alt
par le Général de corps d'armée (2S) Marc ALLAMAND.....

Dans une récente conférence, un ancien Chef d'Etat-major de l'Armée de Terre a posé la question suivante: les opérations extérieures sont elles une justification fonctionnelle pour nos armées, ou une nécessité nationale?
Autrement dit,  les militaires  poussent-ils à la roue pour faire la guerre, ou bien  les politiques  prennent-ils les décisions d'engagement de nos forces en fonction des intérêts de la Nation? Au delà de cette question, nous pouvons en poser une autre: une Armée pour quoi faire?

Il faut bien reconnaître que pour le Français moyen, la réponse n'est pas évidente. Après tout, les menaces se sont estompées à nos frontières, les Français, vaccinés par les saignées des deux guerres mondiales et des guerres post-coloniales, aspirent à la paix. Par ailleurs, les caisses de l'Etat sont vides et les opérations extérieures coûtent cher.

Alors pourquoi partir en Afghanistan, en Côte d'Ivoire, en Libye et peut-être demain au Mali? Est-ce pour permettre aux soldats d'acquérir de l'expérience, de tester des matériels, que les industriels de l'armement s'efforceront de leur vendre? Et poussant le raisonnement plus loin, pourquoi entretenir une armée si cher avec toutes ses capacités, alors que l'on pourrait mutualiser nos moyens avec ceux d'autres nations européennes?

Sans pouvoir nier qu'une armée aguerrie est plus efficace qu'une armée qui reste dans ses cantonnements, force est de constater que  la politique suivie par nos Présidents de la République successifs, ne nous permet pas de discerner facilement la cohérence entre les ambitions nationales affichées et les moyens donnés à notre diplomatie, dont les armées font partie, et à notre défense.
On dresse bien un tableau exhaustif de nos ambitions et des moyens correspondants, de Livre blanc en Livre blanc, en s'empressant d'en oublier les contraintes au moment du vote des budgets annuels.

Mais comment les Français pourraient-ils être éclairés sur cette problématique, lorsque celle-ci disparaît complètement des débats électoraux présidentiels, alors que c'est de leur sécurité et peut-être de leur survie qu'il s'agit. On parle de consensus à préserver pour évacuer le problème, préférant  laisser à quelques stratèges en chambre le soin de ratiociner.
Et pourtant, les Français sont capables de comprendre qu'à l'heure de la mondialisation , nous ne pouvons pas vivre à l'écart du monde, qui  est  nécessaire à notre pays pour ses approvisionnements en énergie, en terres ou  minerais rares, comme pour son commerce, donc aussi à leur niveau de vie de tous les jours, à condition que ce monde  reste stable. Or ce monde est dangereux. Les opérations extérieures, menées par la France avec d'autres nations, devraient contribuer, avant tout, à maintenir cette stabilité.
Il n'est pas honteux de vouloir préserver nos intérêts économiques, en garantissant la liberté de nos compatriotes et de nos entreprises qui travaillent à l'étranger, tout comme la liberté de navigation sur les mers. Encore faudrait-il que nos hommes politiques l'affichent clairement et ne  se cachent pas derrière des motifs uniquement humanitaires, aussi louables soient-ils.

Pour défendre nos intérêts nationaux et internationaux, nous devons disposer d'un outil militaire cohérent et efficace. Or, l'effort budgétaire français de défense a quasiment été divisé par deux en l'espace de trente ans et malheureusement l'Europe suit la même pente : de 29% des dépenses militaires mondiales en 2001, elle est passée à 20% en 2011, alors que de nombreux pays réarment de par le monde.
S'en remettre aux autres pour défendre ses intérêts, comme par exemple en mutualisant nos capacités avec celles des pays européens, supposerait qu'il y ait une communauté de vue et d'intérêts entre ces pays, donc une Europe politique forte, avec des ambitions mondiales communes. Cet objectif, sans doute souhaitable, est bien loin d'être atteint et risque, si ce chemin est emprunté trop rapidement, tentation facile de nos jours, de nous voir s’affaiblir, sans bénéficier, en contre partie d'assurance tous risques.
Maintenir notre outil en national, sans consentir, malgré la période difficile que nous traversons, l'effort budgétaire nécessaire, revient à perdre des capacités, également de manière irréversible. Peu de Français savent qu'aujourd'hui notre Armée de Terre, pour ne parler que d'elle, n'est pas mieux équipée que l'armée Suisse, et qu'en 2014, elle tiendra totalement dans le stade de France.

Nous sommes donc à un tournant stratégique pour notre pays. Des décisions prises aujourd'hui par nos hommes politiques en matière de défense dépendra peut-être la survie de notre pays dans quelques décennies. Les plus hautes autorités militaires françaises ont alerté nos dirigeants sur la situation critique de nos armées. Ou bien notre pays se maintiendra dans le rang des puissances moyennes, pouvant prétendre faire entendre sa voix au conseil de sécurité de l'ONU et préserver ses intérêts, ou bien la France sera déclassée au rang de pays de seconde zone, et devra renoncer à sa place au conseil de sécurité et à son rang dans le monde.

Messieurs les Politiques, vous aurez alors à répondre de vos responsabilités.

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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 10:57
Combattants sans passé, de Robert Markus, Légionnaire au service de la France

 

Légionnaire, Robert Markus décrit ouvertement ses expériences et pensées au cours de ses cinq premières années de service dans la légendaire Légion Étrangère.
Au cours de sa carrière détaillée qui l'a conduit dans diverses missions à travers le monde, il vous présente également certains segments de la riche histoire de cette Famille unique qui vit avec la devise « Legio Patria Nostra ».
Les aventures du Légionnaire dans « l'Armée de mauvaise réputation » ne vous laisseront pas indifférents ! Un début brutal qui mène bien des candidats à un surpassement de soi constant pour, au final, ne maintenir dans les rangs que des vrais combattants.
Robert MARKUS a rejoint la Légion Étrangère le 21 juillet 1993. En tant que jeune Légionnaire, il a été affecté au 2ème REP, puis à la 13ème DBLE, au 4ème RE et au 2ème REI. En 1995, il est devenu caporal et sergent en 2001. Il a passé quinze ans à la Légion et participé à des missions au Tchad, en République centrafricaine, Bosnie, Gabon, Congo, Qatar et Kosovo.
 



Le mot de l’auteur
« Je vous demande une petite faveur : prenez une minute et parlez de mon livre à tous vos contacts sur les réseaux sociaux et par e-mail et demandez-leur en même temps de faire le même geste. Je suis auto-éditeur et je m'occupe tout seul de la publicité. Faites circuler le mot au maximum. Je vous remercie avec un grand MERCI. Amitiés,
Robert »




À lire absolument !!!
Auteur : Robert MARKUS
Format : 14,8 x 22,5
Nombre de pages: 421
Visiter son site : http://www.combattants.org/

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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 10:53

Magazine Képi Blanc : link

 

"Y a des avocats, des médecins
Des juges, des marquis, des roussins,
D'anciens notaires,
Mêm' des curés qui sans façon
Baptisent le bon Dieu d'sacrés noms
Aux légionnaires".


Chaque jour, des candidats se présentent au centre de sélection et d'incorporation de la Légion étrangère à Aubagne. Présélectionnés dans les divers postes de recrutement et d'information de la Légion disséminés dans l'hexagone, ils arrivent de tous les horizons, avec des motivations différentes. Certains ont voyagé depuis plusieurs semaines pour se présenter comme candidats à l'engagement. Ils ont décidé de tourner une page de leur vie pour en commencer une autre, ou recherchent l'action, l'aventure ou encore veulent sortir d'une situation individuelle diffi cile. Tout ce qu'ils possèdent tient souvent dans un simple sac à dos. Américains, Européens, Slaves, Asiatiques, Africains, Orientaux, toutes les origines sont représentées dans ce vivier humain diversifi é et jeune. Avec quelques 150 nationalités représentées, la Légion recrute chaque année plus de 800 hommes parmi les 10 000 candidats qui se présentent en moyenne.

À la Légion, la sélection est rigoureuse, tests physiques, psychotechniques, médicaux, entretiens de motivation et de personnalité... Un candidat sur huit seulement réussit les sélections avant de signer son contrat d'engagement qui fera de lui un légionnaire à l'issue de son instruction initiale au 4e Régiment étranger à Castelnaudary.

La Légion étrangère, troupe combattante interarmes encadrée par des officiers français, est composée de sous-officiers et de militaires du rang servant à titre étranger. Tous ces volontaires sont liés au service par un contrat d'engagement. Ils souscrivent le premier en qualité de légionnaire pour une durée de cinq ans.

Dotée d'une force morale unique, d'un esprit de corps et de traditions séculaires, jeune, disponible, sportive, dynamique et polyvalente, la Légion d'aujourd'hui est un outil d'action moderne destiné à servir dans des engagements opérationnels de tout type, en tous lieux et à tous moments.

Notre dossier du mois est ainsi consacré au recrutement à la Légion, avec une présentation complète du Groupement de recrutement de la Légion étrangère (GRLE).

Depuis 1831, la Légion étrangère constitue le volet militaire de la tradition d'accueil et d'intégration de la France. Autorisée à recruter des étrangers, la Légion a su faire vivre, rendre homogène et souder une mosaïque humaine très variée. Plus de 35 000 légionnaires, étrangers au service de la France, ont donné leur vie pour leur patrie d'adoption.

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3 novembre 2012 6 03 /11 /novembre /2012 19:07
ABDULATEEF AL-MULHIM
Saturday 6 October 2012


Primo est entré en contact avec Abdulateef Al-Mulhim, officier supérieur de la marine Saoudienne, désormais à la retraite. Celui-ci a écrit un article dans Arab News paru le samedi 6 Octobre 2012. Il nous a autorisé à le traduire.

 
Il y a trente-neuf ans, le 6 octobre 1973, éclatait la troisième guerre majeure entre les Arabes et Israël.

Elle n'a duré que 20 jours. Les deux parties se sont affrontées dans deux autres grandes guerres, en 1948 et 1967. Celle de 1967 n'a duré que six jours.
 
Mais ces trois guerres ne sont pas les seuls affrontements israélo-arabes.
 
De 1948 à nos jours, de nombreux combats ont eu lieu. Certains d'entre eux étaient des conflits de moindre envergure.
 
Mais si beaucoup furent des batailles furieuses, aucune n'atteignit la dimension de ces trois-là.


Le conflit israélo-arabe est le conflit le plus compliqué que le monde ait jamais connu.

 
En ce jour anniversaire de la guerre de 1973 entre le monde arabe et les Israéliens, nombreux sont, dans le monde arabe, ceux qui commencent à se poser des questions sur le passé, le présent et l'avenir de ce conflit.
 
Et ces questions sont les suivantes : quel est le coût réel de ces guerres pour le monde arabe et ses habitants ?
 
Mais il y a des questions les plus difficiles, qu'aucun ressortissant arabe ne veut se poser : quel est le coût réel de la non-reconnaissance d'Israël en 1948 ?
 
Autre question, liée à la précédente : pourquoi les pays arabes ne dépensent-ils pas leurs richesses pour l'éducation, la santé et les infrastructures au lieu de financer des guerres ?

Enfin, la question ultime, la plus difficile, celle qu'aucun ressortissant arabe n'ose aborder, c'est de savoir si Israël est le véritable ennemi du monde arabe.
 
J'ai décidé d'écrire cet article après avoir vu des photos et des reportages sur un enfant mourant de faim au Yémen, un homme brûlé dans un souk de l’antique ville d’Alep en Syrie, le sous-développement qui frappe les populations du Sinaï en Égypte, les attentats à la voiture piégée en Irak et les immeubles détruits en Libye.
 
Les photos et les reportages ont été présentés sur la chaîne Al-Arabiya, chaîne d’informations la plus regardée et respectée au Moyen-Orient.
 

Le point commun entre tout ce que j'ai vu, c'est que la destruction et les atrocités ne sont pas l'oeuvre d'un ennemi extérieur.

 
La famine, les meurtres et la destruction de ces pays arabes sont effectuées par les mains mêmes qui sont censées protéger et sauvegarder ces populations et construire l'unité de leurs pays.

Donc, je repose la question: qui est le véritable ennemi du monde arabe ?

Les pays arabes ont gaspillé des centaines de milliards de dollars et ont perdu des dizaines de milliers de vies innocentes dans leur combat contre Israël, qu'ils estimaient être leur ennemi juré, un ennemi dont ils n’ont jamais reconnu l’existence. 


Le monde arabe a beaucoup d'ennemis, mais Israël aurait dû être au bas de la liste
.
Les véritables ennemis du monde arabe sont la corruption, le manque d’éducation, le manque de systèmes de soins, le manque de liberté, le manque de respect pour la vie humaine.

En fait, le monde arabe a eu beaucoup de dictateurs qui ont utilisé le conflit israélo-arabe pour opprimer leur propre peuple.

Ces atrocités commises par ces dictateurs sont bien pires que toutes les guerres israélo-arabes.
 
Dans le passé, il nous a été exposé les raisons pour lesquelles certains soldats israéliens attaquaient et maltraitaient les Palestiniens. En outre, nous avons vu des avions israéliens et des chars attaquer divers pays arabes.
 
Mais ces attaques n'égalent en rien les atrocités actuelles commises par certains pays arabes contre leurs peuples.
 
En Syrie, les atrocités ne défient-elles pas l'imagination ?
 
N'est-ce pas les Irakiens qui détruisent leur propre pays ?
 
En Tunisie, n'était-ce pas le dictateur aux commandes du pays qui a réussi à voler 13 milliards de dollars aux Tunisiens les plus pauvres ?
 
Comment un enfant peut-il mourir de faim au Yémen, quand leur terre est réputée comme étant l'une des plus fertiles au monde ?
 
Pourquoi les cerveaux irakiens quittent-ils l'Irak, un pays qui fait 110 milliards de dollars de chiffre d'affaires avec l'exportation de pétrole ?
 
Pourquoi les Libanais ne parviennent-ils pas à gouverner un des plus petits pays au monde ?


Alors, par quel phénomène les États arabes ont-ils commencé à sombrer dans le chaos ?

Le 14 mai 1948, la création de l’État d'Israël a été proclamée.
 
Un jour seulement après cette proclamation, le 15 mai 1948, les Arabes ont déclaré la guerre à Israël afin de reconquérir la Palestine toute entière.
 
La guerre s'est terminée le 10 mars 1949. Elle a duré neuf mois, trois semaines et deux jours. Les Arabes l'ont perdu et l'ont appelée la Nakba (catastrophe).
 
Les Arabes n’ont rien gagné et des milliers de Palestiniens sont devenus des réfugiés.
En 1967, les Arabes, menés par l'Égypte sous la férule de Gamal Abdel Nasser, entrèrent en guerre contre Israël. Ils ont perdu encore plus de territoire palestinien et ont fait encore plus de réfugiés palestiniens, maintenant à la merci des pays qui les accueillent.
 
Les Arabes ont appelé cette guerre « an-Naksah » (guerre du revers).


Les Arabes n'ont jamais admis leurs défaites dans les deux guerres

La cause palestinienne est devenue plus compliquée à plaider.
 
Car maintenant, avec ce 'Printemps' qui n’en finit pas, le monde arabe n'a plus de temps ni d’énergie à consacrer à la cause palestinienne ou aux réfugiés palestiniens.
 
Le monde arabe n’a plus de temps à leur consacrer parce que de nombreux Arabes sont devenus eux-mêmes des réfugiés, sous les attaques incessantes en provenance de leurs propres forces armées.
 
Les Syriens quittent leur propre pays, non pas sous les bombes des avions israéliens, mais celles de l'armée de l'air syrienne.

Maintenant, les cerveaux les plus intelligents parmi les Irakiens musulmans arabes quittent l'Irak.
 
Au Yémen, les plus tristes des tragi-comédies humaines sont écrites de la main même des Yéménites.
 
En Égypte, les habitants du Sinaï sont oubliés.


Finalement, alors que la plupart des pays arabes sont dans un si profond désarroi, qu'est-il arrivé à l’ennemi juré des Arabes, à savoir Israël ?
 
Israël a maintenant les industries et la recherche parmi les plus avancées, les meilleures universités et des infrastructures de pointe.

Beaucoup d'Arabes ne savent pas que l'espérance de vie des Palestiniens vivant en Israël est, de loin, plus longue que dans de nombreux pays arabes.
 
Ils jouissent, et de loin, d’une liberté politique et sociale bien plus importante que beaucoup de leurs frères arabes.
 
Même les Palestiniens vivant sous occupation israélienne en Cisjordanie profitent de davantage de droits politiques et sociaux que certains pays du monde arabe.
 
Est-il contestable qu’un des juges qui a envoyé un ancien président israélien en prison est un israélo-palestinien ?
 
Le printemps arabe a montré au monde que les Palestiniens sont plus heureux et en meilleure situation que leurs frères arabes qui se sont battus pour les libérer des Israéliens.

Maintenant, il est grand temps d'arrêter la haine et la guerre. Il est temps de commencer à créer des conditions de vie meilleures pour les futures générations arabes


 © ABDULATEEF AL-MULHIM
almulhimnavy@hotmail.com
 Texte original : Arabnews. Traduction Primo, avec l’autorisation de l’auteur.
 
 
 
 
 
 
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28 octobre 2012 7 28 /10 /octobre /2012 20:33
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