Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de l'Amicale des Anciens de la Légion Etrangère d'Indre-et-Loire
  • : Ce blog présente toutes les activités de l'Amicale. Vous êtes invités à transmettre vos textes et photos pour enrichir ce blog soit en contactant le Président soit en écrivant à zeraldavert@gmail.com
  • Contact

Profil

  • AALE 37
  • Pierre LORAILLER 
- Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES 
- Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 
- Délégué AALP Région Centre.
  • Pierre LORAILLER - Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES - Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 - Délégué AALP Région Centre.

A.A.L.E. 37

Buts : Entretenir et développer les sentiments de camaraderie et de solidarité qui caractérisent la Légion Etrangère.

Pérenniser le souvenir du Combat de Camerone.

 

Président :

LORAILLER Pierre

Mail : zeraldavert@gmail.com

 

Composition du bureau directeur :

1er Vice-Président : SCHULLER Pierre

2e Vice-Président : Colonel FUSALBA Thierry

Secrétaire et Trésorière : THERET Nadine

 

Président d’Honneur : Général de Brigade (2S) BREUILLE Eric (Ancien Chef de Corps du 1er REG)

 

Administrateurs :  

LEBIGRE Yannick

THERMEAU Jean-Claude

 

Contrôleur aux Comptes :

BERGEOT Dominique

 

Porte-drapeaux :

BENYAHIA Hikmat

GAUTIER Dominique

 

Recherche

Musique

19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 17:26

Au lendemain des attentats meurtriers survenus le vendredi 13 novembre 2015 à Paris et à Saint Denis, l’ASAF s’incline devant les morts, partage la souffrance des blessés et compatit à la douleur de nos compatriotes qui ont perdu un des leurs.

Au lendemain des attentats meurtriers survenus le vendredi 13 novembre 2015 à Paris et à Saint Denis, l’ASAF s’incline devant les morts, partage la souffrance des blessés et compatit à la douleur de nos compatriotes qui ont perdu un des leurs.

Elle exprime aussi sa ferme détermination à participer au combat jusqu’à la victoire totale par le soutien sans faille qu’elle apportera aux forces armées, aux forces de Police et de Gendarmerie et aux formations de pompiers et de sécurité civile.

  1. L’ASAF rappelle que la France a déclaré être en guerre et que ses armées sont effectivement engagées contre les terroristes islamistes en Afrique sahélienne, au Moyen-Orient et sur le sol français. Il en va de notre liberté et de notre sécurité. C’est une guerre longue et totale qui concerne la Nation tout entière.
  2. L’ASAF estime que ce combat « à mort » implique une détermination et une cohésion sans faille de tous les Français. Aucune victoire ne pourra être obtenue si les forces armées, les forces de sécurité et les unités de secours ne disposent pas de tous les moyens humains et matériels nécessaires ainsi que du soutien moral de la Nation.
  3. L’ASAF demande aux gouvernants et aux élus qu’un redéploiement important des ressources financières de l’Etat soit effectué en urgence vers ces fonctions régaliennes pour mettre en place les effectifs et les moyens indispensables qui s’avèrent insuffisants aujourd’hui. Elle sait que cet effort financier entraînera des privations et des souffrances, mais c’est seulement à ce prix que nous demeurerons libres.

Dans ce combat pour la sauvegarde des valeurs de la France et la liberté des Français, chacun doit savoir que la victoire sur ces terroristes islamistes fanatisés ne s’obtiendra que par le courage, l’effort, l’acceptation de contraintes individuelles et collectives en matière de contrôle et de sécurité et une cohésion sans faille de la communauté nationale.

LA REDACTION

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 16:57

LA NOUVELLE REPUBLIQUE 12/11/2015

Le préfet et le maire de Tours ont présidé l’anniversaire de l’Armistice. Des écoliers ont chanté “ La Marseillaise ” avant le défilé jusqu’à l’hôtel de ville.

Il fallait marquer le coup, pour la première cérémonie du Centenaire. La cérémonie de l'Armistice, hier à Tours, a rassemblé les autorités civiles et militaires, comme d'habitude, mais aussi beaucoup d'enfants, et leurs parents. La jeune Louise Voyer-Lagrange, du collège Jean-Monnet, a lu un message officiel relatant les atrocités de la guerre. « Il faut que les jeunes se souviennent eux aussi », confiait Fernand Guindeuil, président de l'Udac 37, qui vivait là sa « 35e cérémonie de 11 Novembre » à titre officiel. Le préfet Jean-François Delage, le président du conseil général Frédéric Thomas, le député Jean-Patrick Gille, le maire de Tours Serge Babary et la conseillère régionale Mélanie Fortier étaient au premier rang. Ravivage de la flamme, dépôt de gerbes, remise de décorations (*) avaient lieu au pied de la tribune, place Anatole-France. Un long cortège se dirigeait ensuite vers l'hôtel de ville, derrière l'orchestre d'harmonie de la ville, pour l'opération « les Flammes de l'espoir » dans le péristyle, et la cérémonie à la salle des fêtes. Les travaux de mémoire des enfants des écoles Anatole-France et Vigny-Musset étaient projetés sur grand écran. Des élèves lisaient des extraits de lettres de Maurice Sieklucki, poilu tourangeau. Serge Babary clôturait la matinée.

11 Novembre digne du Centenaire

VIDEO. Tours : le Centenaire de la Grande Guerre par lanouvellerepublique

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 16:32

Publié le 11/11/2015 à 03:51

LA DEPECHE

Défense - Armée - Légion étrangère

Il voulait mieux connaître la Légion dont il est le chef , dès son arrivée, le major général de l'armée de terre a voulu tout savoir des hommes comme de l'institution. Accueilli par le général Maurin, commandant la Légion étrangère, et par le colonel Dufour, commandant le 4e régiment étranger, le général de corps d'armée Bertrand Houïtte de La Chesnay s'est approché du piquet d'honneur, questionnant l'un sur sa carrière, l'autre sur son entraînement. L'autre raison de la venue du n° 2 de l'armée de terre, c'était, en effet, la montée en effectif du régiment qui forme les légionnaires, sa capacité d'adaptation, un régiment dont il voulait appréhender les méthodes de formation qui font «en quelques mois de jeunes gens venus des quatre coins du monde de magnifiques soldats, prêts à défendre la France sans état d'âme». L'occasion de revenir sur la menace et la nécessité pour l'armée de s'y adapter tout en soulignant que «les missions de ces futurs soldats, face au terrorisme, ne seront guère différentes de celles qu'ils auront à connaître en opération extérieure, sauf qu'ici, ce n'est pas au milieu d'une population hostile». «Nous lui avons expliqué la spécificité de nos actions et la mission des commandants d'unité. Il a également rencontré des cadres et vu, ensuite, à Bel Air, la traduction concrète de la théorie que nous lui avons présentée», souligne le colonel Dufour. A la ferme d'entraînement de la 1re compagnie commandée par le capitaine Bianchi, le général a ainsi pu assister aux fameux cours de français à l'inégalable méthode qui permettront à ces jeunes engagés volontaires d'acquérir pas moins de 500 mots en quelques semaines. Mais pas seulement, démonstration de tir, relevage de blessés sous le feu par la compagnie d'instruction des cadres ou encore premiers soins par les secouristes de combat de niveau 2 par la compagnie des spécialistes... un véritable condensé des missions du «4». Le major général s'est aussi intéressé à l'intégration du régiment, de ses hommes et des familles dans la ville, un formidable exemple qui, autant que pour les méthodes concrètes de formation, pourra servir à l'armée de terre dans le cadre du service militaire volontaire. «Castelnaudary est votre creuset. Vous y reviendrez au cours de votre carrière», a-t-il lancé aux jeunes engagés volontaires qui, au Cugarel, ont coiffé leur képi blanc au terme d'un mois de formation. «Certains d'entre vous seront engagés très rapidement quand ils auront choisi leur régiment, soit en opération extérieure, soit sur le territoire national. Vous arrivez à un moment important pour l'armée de terre. Relevez la tête face à l'ennemi comme nous parce que nous regonflons nos effectifs».

Gladys Kichkoff.

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 16:28

10/11/15 à 12:18

CAPITAL

Avec ses 1.000 recrues par an et ses 146 nationalités, ce corps de l'armée de terre est un modèle d'intégration. Reportage dans la «Ferme» où, pendant un mois, les nouveaux légionnaires apprennent leur métier. Et entament une nouvelle vie.

Au sein de l'armée, on le surnomme le «régiment des fortes têtes». Au 4e Régiment étranger (RE), le creuset de la Légion étrangère, l'engagé volontaire apprend rapidement qu'il n'intègre pas une institution ordinaire, mais sa nouvelle patrie. C'est d'ailleurs ce que proclame sa devise : Legio patria nostra.

Ils sont 6.400 à composer ce corps d'élite. Originaires pour la plupart de pays étrangers, ils ont laissé derrière eux des vies plus ou moins cabossées. Comme Cazin, qui aurait pu mal tourner et qui a vu dans la Légion une échappatoire à un destin mal engagé. Ou comme l'Italien Marco, dont la vie «allait exploser», selon ses propres mots... Beaucoup de ces hommes viennent à la Légion en quête d'une seconde chance.

UN CORPS SOLIDAIRE ET UNI. La sélection est rude : seul un candidat sur huit est retenu, après des tests physiques, médicaux, psychologiques et de sécurité. Une fois ces épreuves réussies, les recrues signent un contrat d'engagement de cinq ans et séjournent pendant un mois dans l'une des quatre fermes vouées à la formation initiale, à proximité de Castelnaudary dans l'Aude. Ce sont leurs premiers pas dans la Légion étrangère. On va leur y enseigner le français, le code d'honneur et, surtout, leur apprendre à constituer un groupe dans lequel la cohésion et la solidarité règnent en maîtres.

Dans la Légion étrangère, il n'y pas de place pour les petits chefs au sein du groupe. Visionnez notre vidéo humoristique sur "les chefaillons, ça suffit !"

UN SÉMINAIRE D'INTÉGRATION. Ce régiment-école reçoit de 800 à 1.000 recrues par an, selon les besoins. Un cas unique dans l'armée française, puisque la Légion accueille 88% d'étrangers issus de 146 nationalités avec des cultures multiples, des religions diverses et des modes de fonctionnement distincts. Des individus très dissemblables, auxquels ce long séjour dans un endroit isolé va permettre de se forger des valeurs communes. «Le premier matin, ils se retrouvent entourés d'hommes venus des quatre coins du monde : ils vont apprendre à vivre ensemble. C'est l'acte I de la cohésion et de l'intégration», commente le colonel Marc Lobel, qui assurait jusqu'à cet été le commandement du 4e RE.

Pour favoriser cette cohésion, les cadres vivent avec eux vingt-quatre heures sur vingt-quatre, y compris à Noël. Du colonel aux derniers engagés volontaires (souvent coupés de leur famille), tous passent les fêtes ensemble, afin qu'aucun légionnaire ne se retrouve seul. «Pour atteindre nos objectifs, souligne un commandant de la compagnie, l'encadrement doit consentir un fort investissement.»

Il lui faudra aussi faire preuve d'une grande patience en attendant que ces néo-légionnaires deviennent autonomes. Le régime est rude durant la formation : entre exercices physiques, entraînement aux manœuvres et découverte des techniques de combat, ces fortes têtes sont bien occupées. Et ont peu de temps libre : pas de téléphone mobile, seulement trois sorties en ville accompagnés de cadres, une activité de cohésion (paint-ball, karting, visite d'un musée, restaurant...).

Au milieu du programme, ils suivent tout de même un «stage d'oxygénation» à Formiguères, dans les Pyrénées-Orientales, où la Légion possède un chalet : l'occasion de pratiquer des activités différentes pour casser le rythme de l'instruction. Malgré cela, en mars dernier, trois engagés (sur 38) ont demandé à partir. «C'était trop dur pour eux», explique le sergent-chef Aubert.

UN LANGAGE COMMUN À MAÎTRISER. A la Ferme, ces hommes se voient inculquer les rudiments du métier de légionnaire, avec sa vie, ses valeurs, sa symbolique et son histoire. Ils doivent aussi - et surtout - apprendre en un temps record la langue de travail de la Légion, le français, absolument inconnue de la majorité d'entre eux à leur arrivée. L'objectif ? Qu'un légionnaire étranger possède un vocabulaire de 500 mots à la fin de sa formation. L'apprentissage se fait selon la méthode «képi blanc», fondée sur la répétition et l'immersion. Les francophones sont mis à contribution et prennent en charge leurs nouveaux camarades.

C'est l'un des credo de la Légion : la solidarité du groupe prime sur la performance individuelle. Dans le même esprit, les encadrants peuvent aussi accorder un surcroît d'attention aux engagés dits «hors barème» : des individus rencontrant des difficultés particulières en français ou dans certaines disciplines sportives, comme la natation (qu'ils soient incapables de parcourir 100 mètres dans un bassin ou qu'ils ne sachent tout simplement pas nager). «Nous leur dispensons un enseignement supplémentaire de mise à niveau afin qu'ils ne soient pas éliminés», explique un sous-officier. En 2013, 29 légionnaires hors barème sur 31 ont ainsi pu être «sauvés».

UN CODE D'HONNEUR À RESPECTER. A la Ferme, la moyenne d'âge est de 24 ans. «Nous recrutons des jeunes, souvent sans repères. Lorsqu'ils arrivent, c'est le déracinement. Le sable devra devenir béton. C'est l'un des rôles assignés à la Légion», précise le commandant François Hervé-Bazin, officier supérieur adjoint du régiment. «Notre savoir-être repose sur une exigence permanente, la solidarité et le respect du code d'honneur», explique de son côté le major Richard Charpentier, figure de la Légion (il a sauté en 1978 sur Kolwezi avec les légionnaires du 2ème Régiment étranger de parachutistes).

Ce code d'honneur, les légionnaires vont l'apprendre par cœur, les étrangers sans le comprendre au début. Les mots feront sens au cours de la formation, et surtout pendant les opérations auxquelles ils participeront. Et en particulier le deuxième enseignement de ce code : «Chaque légionnaire est ton frère d'armes.» «Lors que vous êtes projetés en opération, vous devez faire confiance à votre camarade de gauche et à celui de droite», souligne un chef de section. Les légionnaires risquent en effet leur vie pour leurs collègues. Comme cela a été le cas pour le caporal-chef Rodolphe Penon, infirmier du 2e REP, abattu en Afghanistan en août 2008, alors qu'il se portait au secours d'un blessé.

UN KÉPI GAGNÉ DE HAUTE LUTTE. Les légionnaires achèvent ce premier mois de formation par une marche de 50 kilomètres, lestés de 20 kilos d'équipement. La réussite à cette épreuve leur permettra de recevoir, lors d'une cérémonie, le célèbre képi blanc, symbole d'appartenance à la Légion. Ils passeront ensuite encore douze semaines au quartier Danjou, à Castelnaudary.

Il y aura des échecs, des ruptures de contrat (du fait de l'intéressé ou de l'institution), des inaptitudes médicales, des désertions (moins nombreuses que par le passé). Sans compter ceux qui sont uniquement venus empocher quatre mois de salaire (1.215 euros net, nourris et logés) et qui rentreront ensuite dans leur pays (un phénomène récent et marginal).

Au final, cependant, 80% des hommes arrivés à Castelnaudary quitteront, au terme des seize semaines, le 4e RE pour être ventilés dans les différents régiments de la Légion étrangère.

> UN CORPS D'ÉLITE SÉCULAIRE

La Légion étrangère est créée en 1831 par Louis-Philippe. Les cinq premiers bataillons rejoignent l'Algérie, dont la conquête vient de commencer. Une partie des engagés sont des révolutionnaires devenus réfugiés politiques en France après avoir quitté leur pays.

La bataille de Camerone. En 1863, au Mexique, la légion conquiert son plus beau titre de gloire lors du combat de Camerone. La compagnie du capitaine Danjou - composée de 3 officiers et de 62 hommes - y affronte 2.000 fantassins et cavaliers. Sa résistance héroïque deviendra un symbole, célébré tous les 30 avril par le corps d'armée.

Maintien de la paix. La Légion est de tous les combats : les deux guerres mondiales, l'Indochine, l'Algérie, les actions de maintien de la paix, les opérations extérieures... Environ 36.000 légionnaires ont été tués depuis la création de ce corps d'élite.

MARQUES D'IDENTITÉ ET SIGNES D'APPARTENANCE

Le tatouage constitue depuis longtemps un mode d'expression chez les légionnaires. Les motifs sont divers : armes, grenades, Christ en croix, Vierge, visage féminin, initiales... Il peut marquer la fidélité à un régiment et figurer sur toutes les parties du corps, y compris la langue et les lèvres.

Henri Weill

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 16:24
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Partager cet article
Repost0
8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 17:00
Brigitte Garanger-Rousseau représentait le maire de Tours, Serge Babary.

Brigitte Garanger-Rousseau représentait le maire de Tours, Serge Babary.

La Nouvelle République 2/11/2015

« Tous les ans, le 1er ou le 2 novembre, une cérémonie sera consacrée dans chaque commune à la mémoire et à la glorification des morts pour la patrie. Elle sera organisée par la municipalité, avec le concours des autorités civiles et militaires». Cet article d'une loi votée par le parlement a été publié le 26 octobre 1919, au lendemain de la Grande Guerre. Presqu'un siècle plus tard, les cérémonies sont partout organisées. A Tours, c'est au cimetière Lasalle qu'elles ont eu lieu, selon un protocole très précis. Délégué départemental du Souvenir français qui faisait de ce dimanche la journée nationale des sépultures des morts pour la France, le général Vialatte a lu le message de son délégué national. Puis furent déposées les gerbes au pied des monuments 14-18 et 39-45, des stèles des martyrs fusillés de la Résistance, des musulmans morts pour la France, des prisonniers de guerre, des morts d'Indochine et d'Afrique du Nord, du Souvenir français et des rapatriés d'Algérie, par les élus et les représentants des associations patriotiques.

L'AALE 37 était représentée à cette cérémonie.

Partager cet article
Repost0
8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 16:57
Élus, associations patriotiques et des jeunes rassemblés pour cette célébration.

Élus, associations patriotiques et des jeunes rassemblés pour cette célébration.

La Nouvelle République 3/11/2015

Ayons une pensée particulière pour nos militaires tombés récemment sur notre territoire et sur les théâtres d'opérations extérieures. C'est par ces quelques mots que Claude Métreau, président de la section d'Amboise du Souvenir français, a ouvert, dimanche, la cérémonie en hommage aux morts des différentes guerres, sur la tombe du soldat inconnu au cimetière des Ursulines. Avant les dépôts de gerbes, dont celle de la ville par le maire Christian Guyon, Claude Métreau a lu le message du président général du Souvenir français, Serge Barcellini, qui explique que « pour vivre ensemble, il faut d'abord partager une histoire commune ».

Partager cet article
Repost0
8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 16:54

Pour la première fois depuis sa création, la traditionnelle cérémonie des remises de képis blancs de la Légion étrangère s'est déroulée ce mardi sur les hauteurs du Mont-Saint-Michel.

C'est une tradition vieille comme la Légion étrangère. La cérémonie des képis blancs conclut le premier mois de formation. Elle a lieu habituellement à Castelnaudary. Elle marque officiellement l'entrée de ces soldats dans la légion. Avant cette cérémonie, les 64 "aspirants" se sont levés aux aurores pour effectuer une marche de 15 km entre Saint-Boladre (35) et le Mont-Saint-Michel, la "marche du Képi blanc".

A 17 heures, ils ont reçu le précieux sésame, symbole de leur appartenance à la famille de la Légion étrangère. Parmi ces jeunes engagés volontaires, certains ne sont arrivés en France qu'il y a deux mois.

Source : FRANCE 3 NORMANDIE

Partager cet article
Repost0
8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 16:51

Midi Libre

Jean-Michel Monbelli-Valloire a été nommé conseiller technique auprès du Département sur le dossier de la Légion étrangère. Il fait le lien avec les autorités militaires et accompagne l'arrivée imminente des premières unités de la Légion dans le camp du Larzac. Nous l'avons rencontré, cette semaine.

Malgré une discrétion apparente, l'ensemble des acteurs locaux ainsi que l'état-major de l'armée de Terre sont déjà en ordre de bataille pour accueillir, dès les premières semaines de l'année 2016, l'arrivée de la 13e DBLE dans le camp militaire du Larzac. Pour s'en convaincre, nous avons rencontré en milieu de semaine le colonel Jean-Michel Monbelli-Valloire. Il fut chef de corps du Ceito de 2004 à 2006, et vient, au regard de son expérience sur le territoire millavois et des réseaux qu'il a pu tisser dans sa carrière, d'être mandaté par le président du conseil départemental de l'Aveyron comme conseiller technique principal sur ce dossier dont les contours se distinguent désormais de jour en jour.

"Avec le nouveau préfet, on sent qu'il y a un pilote dans l'avion"

Recruté pour "faciliter les liens nécessaires entre l'état-major et le Département", ce retraité du ministère de la Défense figure également au sein du comité de suivi mis en place par la communauté de communes Larzac Vallées, la collectivité qui sera géographiquement la plus impactée par cette recréation de la “13e” sur le plateau.

Jean-Michel Monbelli-Valloire est aujourd'hui au croisement des deux mondes, civil et militaire, et dispose d'un certain nombre d'informations qu'il nous a divulguées, officiellement. "La proximité des élections régionales a reculé la communication interne aux armées à la fin de l'année, y compris sur ce dossier, dit-il, à ce propos. On n'en saura pas plus avant la fin de la période de réserve, d'autant que l'implantation de la Légion à La Cavalerie s'inscrit dans un projet bien plus vaste, qui vise au renforcement de la capacité opérationnel de nos armées sur l'ensemble du territoire. Pour autant, je peux vous assurer que les petites mains et la matière grise fonctionnent déjà à plein régime."

La dernière information concrète remonte à la semaine précédente. En séance parlementaire, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Dryan a annoncé qu'un investissement de 115 millions d'euros allait être provisionné pour installer cette unité sur le camp d'ici 2018. C'est trois fois plus que la somme prévue au départ. "C'est la preuve que l'enjeu va être de taille pour l'économie locale, souligne l'ex-colonel du Ceito. Tous les élus l'ont compris et sont concernés. À ma grande surprise, ils interagissent, dépassent leurs divergences pour mener à bien ce projet qui va créer de l'économie et de l'emploi sur le territoire. Le nouveau préfet, qui est un ancien militaire, est également très engagé au niveau départemental. Avec lui, on sent qu'il y a un pilote dans l'avion."

Une réunion d'information pour les entrepreneurs locaux, prévue le 12 novembre

En vue des travaux programmés sur le camp entre 2016 et 2018, un cahier des charges adapté au respect des normes environnementales et des "exigences locales" est en cours d'élaboration. "Il n'est pas question que l'arrivée des “kakis” remette en cause le classement à l'Unesco, par exemple. L'armée a l'habitude d'intégrer le développement durable et les économies d'énergie à ses travaux. C'est ce qu'elle fera, en accord avec le PLUi et le Scot." C'est Florent Galko, délégué aux restructurations auprès du préfet de Région, qui supervise actuellement cette partie du dossier, en partenariat avec le Département mais aussi le PNR des grands causses, présidé par Alain Fauconnier.

Rien n'est encore officiel mais une première réunion d'information destinée aux entrepreneurs locaux du BTP serait fixée au 12 novembre, à Millau. "Cette réunion va permettre d'expliquer ce qu'est un marché public de Défense. Toutes les entreprises, petites et grandes, qui souhaitent concourir aux futurs appels d'offres sont conviées. L'Armée aura besoin de leurs compétences", assure le conseiller technique. À ce stade, difficile de lister le nombre d'équipements qui vont devoir être renovés, et combien de bâtiments supplémentaires seront érigés pour l'accueil des légionnaires. On sait toutefois qu'un quartier général propre à ce type de régiment serait envisagé au milieu même de l'enceinte existante. "Son accès sera forcément réglementé et extrêmement surveillé car des armes y seront stockées", précise M. Monbelli-Valloire.

Premiers chantiers en 2016

Le calendrier, lui, s'affine. Toutes les informations convergent pour indiquer que ces premiers travaux, prévus début 2016, correspondront avec l'installation à La Cavalerie d'un premier contingent d'environ 500 légionnaires (dont les 70 actuellement en poste aux Émirats Arabes Unis). Ils partageront alors le site avec les 200 permanents du Ceito, auxquels viendront se greffer les unités de passage venues se faire contrôler avant leur déploiement sur des conflits armés. "Dans un premier temps, cette nouvelle unité de la Légion accueillera d'abord de jeunes recrues déjà en formation à Castelnaudary, au 4e Régiment étranger, qui est l'unité d'instruction de tous les légionnaires. C'est là qu'ils sont filtrés, qu'on voit s'ils sont capables. Il faut savoir que la Légion est le corps qui a le meilleur taux de sélection de tous, avec un homme pris sur huit. Les services de renseignement étudient leur passé, vérifient qu'ils n'ont pas commis de crime de sang ou sexuel. Dans la Légion, ils ne sont pas tous des enfants de cœur, mais il s'agit d'une troupe d'élite, ne l'oublions pas."

Au minimum, 200 familles et 300 enfants d'ici 2018

Pour “encadrer” ces jeunes recrues venues du monde entier mais surtout d'Europe de l'Est et d'Afrique subsaharienne, des légionnaires de carrière issus d'autres régiments stationnés en métropole se sont portés volontaires. "Plusieurs familles ont déjà pris contact avec le camp et les communes les plus proches. Les premières familles vont rejoindre la région en 2016 et s'installeront en fonction de l'âge des enfants sur le Larzac, à Millau ou à Saint-Affrique. Les célibataires, eux, seront hébergés dans les locaux actuels."L'arrivée des autres troupes, elle, est en revanche soumise "à l'avancement des travaux", dit-il. Et d'ajouter : "Si le planning est respecté, viendront ensuite, en 2017, 350 hommes, et autant en 2018, pour atteindre un effectif global de 1 200 légionnaires, qui seront encadrés par 140 personnes, dont une soixantaine déjà présente sur le camp. Au bas mot, calcule-t-il, plus de 200 familles et 300 enfants rejoindront le Sud-Aveyron d'ici 2018."

La ville de Millau se positionne (aussi) pour accueillir des militaires

À ce titre, la municipalité de Millau s'est déjà positionnée. Elle vient de créer sur son portail internet un onglet “accueil 13e DBLE” dans lequel les militaires peuvent trouver toutes les informations nécessaires pour poser leurs valises en terre millavoise. Le Département ne le cache pas et incite toutes les communes voisines à jouer le jeu : leur éventuelle sédentarisation dépendra certainement de l'accueil qui leur sera réservé...

Partager cet article
Repost0
8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 16:37
Photo d'Amélie Marchand

Photo d'Amélie Marchand

Le Président informe du décès de Claude Gilardit ayant servi en tant qu'officier au 3° REI. Ils nous a quittés le jeudi 5 novembre 2015.

Partager cet article
Repost0