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Présentation

  • : Le blog de l'Amicale des Anciens de la Légion Etrangère d'Indre-et-Loire
  • : Ce blog présente toutes les activités de l'Amicale. Vous êtes invités à transmettre vos textes et photos pour enrichir ce blog soit en contactant le Président soit en écrivant à zeraldavert@gmail.com
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Profil

  • AALE 37
  • Pierre LORAILLER 
- Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES 
- Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 
- Délégué AALP Région Centre.
  • Pierre LORAILLER - Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES - Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 - Délégué AALP Région Centre.

A.A.L.E. 37

Buts : Entretenir et développer les sentiments de camaraderie et de solidarité qui caractérisent la Légion Etrangère.

Pérenniser le souvenir du Combat de Camerone.

 

Président :

LORAILLER Pierre

Mail : zeraldavert@gmail.com

 

Composition du bureau directeur :

Président d’Honneur : Général de Brigade (2S) BREUILLE Eric (Ancien Chef de Corps du 1er REG)

Vice-Président : BERTHE Francis  (Ancien du 2ème REP)

Secrétaire et Trésorière : Mlle THERET Nadine

 

Administrateurs :  

DUPUIS Rémi

LEBIGRE Yannick

THERMEAU Jean-Claude

 

Contrôleur aux Comptes :

BERGEOT Dominique

 

Porte-drapeaux :

BENYAHIA Hikmat

GAUTIER Dominique

 

Recherche

Musique

6 décembre 2015 7 06 /12 /décembre /2015 17:22

Voix du Midi Lauragais publie dans son édition à paraître en kiosques ce jeudi 3 décembre, un dossier spécial "Dans les coulisses du 4ème régiment étranger de Castelnaudary".

02/12/2015 à 16:13 par Lola Monset

Cette semaine la rédaction de la Voix du Midi vous propose de découvrir les coulisses du 4ème régiment étranger de Castelnaudary.

Qui sont les légionnaires ? Comment sont-ils recrutés ? Quelle est leur formation ?

Nous répondons à toutes ces questions dans notre dossier spécial de quatre pages à paraître dans l’édition du jeudi 3 décembre !

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6 décembre 2015 7 06 /12 /décembre /2015 17:19

LA NOUVELLE GAZETTE FRANCAISE

3 décembre 2015 par Marie-Madeleine Courtial

De nouvelles unités ont été créées à la Légion Étrangère ces derniers jours. Il s’agit de la 4ème compagnie du 1er REG et du 5ème escadron du 1er REC.La 4ème compagnie du 1er REG a été créée à l’occasion de la Sainte Barbe, fête traditionnelle des sapeurs, avec la remise du fanion au nouveau commandant de cette unité. Le général de brigade Pierre Gillet, ancien chef de l’opération Sangaris et commandant la brigade légère blindée, était présent ainsi que le général Commandant la Légion étrangère: le général de division Jean Maurin. Le 5ème escadron du 1er REC avait été dissous le 22 mars 2014. Il avait été créé en 1929 au Maroc mais avait été dissous plusieurs fois depuis. En 2014, les 70 légionnaires de cette unité avaient transférés au 4ème escadron de reconnaissance et d’intervention.

Ces créations se sont faites dans le cadre du nouveau modèle « au contact » de l’Armée de Terre. Depuis quelques mois, la Légion Étrangère avait lancé une campagne de recrutement avec la mise en ligne d’un clip-vidéo en juin dernier.

En juin dernier, une nouvelle compagnie avait déjà été recréée: la 5ème Compagnie de combat du 2ème REI.

Mais ces régiments de la Légion Étrangère ne seront pas les seuls à bénéficier de création. Le 2ème REP, l’un des régiments les plus prestigieux de cette institution militaire, va voir d’ici Noël la création d’une cinquième compagnie qui détiendra l’expertise du milieu désertique. Les premières briques de la « 5 » ont été posées en octobre, et son effectif doit être au complet d’ici la fin de l’année. On peut logiquement penser qu’elle sera déployée dans le cadre de l’opération Barkhane au Mali.

Ces créations sont aussi une réponse au contexte actuel de la lutte contre le terrorisme puisque les régiments de la Légion Étrangère sont largement mis à contribution également dans l’opération Sentinelle.

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19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 17:26

Au lendemain des attentats meurtriers survenus le vendredi 13 novembre 2015 à Paris et à Saint Denis, l’ASAF s’incline devant les morts, partage la souffrance des blessés et compatit à la douleur de nos compatriotes qui ont perdu un des leurs.

Au lendemain des attentats meurtriers survenus le vendredi 13 novembre 2015 à Paris et à Saint Denis, l’ASAF s’incline devant les morts, partage la souffrance des blessés et compatit à la douleur de nos compatriotes qui ont perdu un des leurs.

Elle exprime aussi sa ferme détermination à participer au combat jusqu’à la victoire totale par le soutien sans faille qu’elle apportera aux forces armées, aux forces de Police et de Gendarmerie et aux formations de pompiers et de sécurité civile.

  1. L’ASAF rappelle que la France a déclaré être en guerre et que ses armées sont effectivement engagées contre les terroristes islamistes en Afrique sahélienne, au Moyen-Orient et sur le sol français. Il en va de notre liberté et de notre sécurité. C’est une guerre longue et totale qui concerne la Nation tout entière.
  2. L’ASAF estime que ce combat « à mort » implique une détermination et une cohésion sans faille de tous les Français. Aucune victoire ne pourra être obtenue si les forces armées, les forces de sécurité et les unités de secours ne disposent pas de tous les moyens humains et matériels nécessaires ainsi que du soutien moral de la Nation.
  3. L’ASAF demande aux gouvernants et aux élus qu’un redéploiement important des ressources financières de l’Etat soit effectué en urgence vers ces fonctions régaliennes pour mettre en place les effectifs et les moyens indispensables qui s’avèrent insuffisants aujourd’hui. Elle sait que cet effort financier entraînera des privations et des souffrances, mais c’est seulement à ce prix que nous demeurerons libres.

Dans ce combat pour la sauvegarde des valeurs de la France et la liberté des Français, chacun doit savoir que la victoire sur ces terroristes islamistes fanatisés ne s’obtiendra que par le courage, l’effort, l’acceptation de contraintes individuelles et collectives en matière de contrôle et de sécurité et une cohésion sans faille de la communauté nationale.

LA REDACTION

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14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 16:57

LA NOUVELLE REPUBLIQUE 12/11/2015

Le préfet et le maire de Tours ont présidé l’anniversaire de l’Armistice. Des écoliers ont chanté “ La Marseillaise ” avant le défilé jusqu’à l’hôtel de ville.

Il fallait marquer le coup, pour la première cérémonie du Centenaire. La cérémonie de l'Armistice, hier à Tours, a rassemblé les autorités civiles et militaires, comme d'habitude, mais aussi beaucoup d'enfants, et leurs parents. La jeune Louise Voyer-Lagrange, du collège Jean-Monnet, a lu un message officiel relatant les atrocités de la guerre. « Il faut que les jeunes se souviennent eux aussi », confiait Fernand Guindeuil, président de l'Udac 37, qui vivait là sa « 35e cérémonie de 11 Novembre » à titre officiel. Le préfet Jean-François Delage, le président du conseil général Frédéric Thomas, le député Jean-Patrick Gille, le maire de Tours Serge Babary et la conseillère régionale Mélanie Fortier étaient au premier rang. Ravivage de la flamme, dépôt de gerbes, remise de décorations (*) avaient lieu au pied de la tribune, place Anatole-France. Un long cortège se dirigeait ensuite vers l'hôtel de ville, derrière l'orchestre d'harmonie de la ville, pour l'opération « les Flammes de l'espoir » dans le péristyle, et la cérémonie à la salle des fêtes. Les travaux de mémoire des enfants des écoles Anatole-France et Vigny-Musset étaient projetés sur grand écran. Des élèves lisaient des extraits de lettres de Maurice Sieklucki, poilu tourangeau. Serge Babary clôturait la matinée.

11 Novembre digne du Centenaire

VIDEO. Tours : le Centenaire de la Grande Guerre par lanouvellerepublique

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14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 16:32

Publié le 11/11/2015 à 03:51

LA DEPECHE

Défense - Armée - Légion étrangère

Il voulait mieux connaître la Légion dont il est le chef , dès son arrivée, le major général de l'armée de terre a voulu tout savoir des hommes comme de l'institution. Accueilli par le général Maurin, commandant la Légion étrangère, et par le colonel Dufour, commandant le 4e régiment étranger, le général de corps d'armée Bertrand Houïtte de La Chesnay s'est approché du piquet d'honneur, questionnant l'un sur sa carrière, l'autre sur son entraînement. L'autre raison de la venue du n° 2 de l'armée de terre, c'était, en effet, la montée en effectif du régiment qui forme les légionnaires, sa capacité d'adaptation, un régiment dont il voulait appréhender les méthodes de formation qui font «en quelques mois de jeunes gens venus des quatre coins du monde de magnifiques soldats, prêts à défendre la France sans état d'âme». L'occasion de revenir sur la menace et la nécessité pour l'armée de s'y adapter tout en soulignant que «les missions de ces futurs soldats, face au terrorisme, ne seront guère différentes de celles qu'ils auront à connaître en opération extérieure, sauf qu'ici, ce n'est pas au milieu d'une population hostile». «Nous lui avons expliqué la spécificité de nos actions et la mission des commandants d'unité. Il a également rencontré des cadres et vu, ensuite, à Bel Air, la traduction concrète de la théorie que nous lui avons présentée», souligne le colonel Dufour. A la ferme d'entraînement de la 1re compagnie commandée par le capitaine Bianchi, le général a ainsi pu assister aux fameux cours de français à l'inégalable méthode qui permettront à ces jeunes engagés volontaires d'acquérir pas moins de 500 mots en quelques semaines. Mais pas seulement, démonstration de tir, relevage de blessés sous le feu par la compagnie d'instruction des cadres ou encore premiers soins par les secouristes de combat de niveau 2 par la compagnie des spécialistes... un véritable condensé des missions du «4». Le major général s'est aussi intéressé à l'intégration du régiment, de ses hommes et des familles dans la ville, un formidable exemple qui, autant que pour les méthodes concrètes de formation, pourra servir à l'armée de terre dans le cadre du service militaire volontaire. «Castelnaudary est votre creuset. Vous y reviendrez au cours de votre carrière», a-t-il lancé aux jeunes engagés volontaires qui, au Cugarel, ont coiffé leur képi blanc au terme d'un mois de formation. «Certains d'entre vous seront engagés très rapidement quand ils auront choisi leur régiment, soit en opération extérieure, soit sur le territoire national. Vous arrivez à un moment important pour l'armée de terre. Relevez la tête face à l'ennemi comme nous parce que nous regonflons nos effectifs».

Gladys Kichkoff.

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14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 16:28

10/11/15 à 12:18

CAPITAL

Avec ses 1.000 recrues par an et ses 146 nationalités, ce corps de l'armée de terre est un modèle d'intégration. Reportage dans la «Ferme» où, pendant un mois, les nouveaux légionnaires apprennent leur métier. Et entament une nouvelle vie.

Au sein de l'armée, on le surnomme le «régiment des fortes têtes». Au 4e Régiment étranger (RE), le creuset de la Légion étrangère, l'engagé volontaire apprend rapidement qu'il n'intègre pas une institution ordinaire, mais sa nouvelle patrie. C'est d'ailleurs ce que proclame sa devise : Legio patria nostra.

Ils sont 6.400 à composer ce corps d'élite. Originaires pour la plupart de pays étrangers, ils ont laissé derrière eux des vies plus ou moins cabossées. Comme Cazin, qui aurait pu mal tourner et qui a vu dans la Légion une échappatoire à un destin mal engagé. Ou comme l'Italien Marco, dont la vie «allait exploser», selon ses propres mots... Beaucoup de ces hommes viennent à la Légion en quête d'une seconde chance.

UN CORPS SOLIDAIRE ET UNI. La sélection est rude : seul un candidat sur huit est retenu, après des tests physiques, médicaux, psychologiques et de sécurité. Une fois ces épreuves réussies, les recrues signent un contrat d'engagement de cinq ans et séjournent pendant un mois dans l'une des quatre fermes vouées à la formation initiale, à proximité de Castelnaudary dans l'Aude. Ce sont leurs premiers pas dans la Légion étrangère. On va leur y enseigner le français, le code d'honneur et, surtout, leur apprendre à constituer un groupe dans lequel la cohésion et la solidarité règnent en maîtres.

Dans la Légion étrangère, il n'y pas de place pour les petits chefs au sein du groupe. Visionnez notre vidéo humoristique sur "les chefaillons, ça suffit !"

UN SÉMINAIRE D'INTÉGRATION. Ce régiment-école reçoit de 800 à 1.000 recrues par an, selon les besoins. Un cas unique dans l'armée française, puisque la Légion accueille 88% d'étrangers issus de 146 nationalités avec des cultures multiples, des religions diverses et des modes de fonctionnement distincts. Des individus très dissemblables, auxquels ce long séjour dans un endroit isolé va permettre de se forger des valeurs communes. «Le premier matin, ils se retrouvent entourés d'hommes venus des quatre coins du monde : ils vont apprendre à vivre ensemble. C'est l'acte I de la cohésion et de l'intégration», commente le colonel Marc Lobel, qui assurait jusqu'à cet été le commandement du 4e RE.

Pour favoriser cette cohésion, les cadres vivent avec eux vingt-quatre heures sur vingt-quatre, y compris à Noël. Du colonel aux derniers engagés volontaires (souvent coupés de leur famille), tous passent les fêtes ensemble, afin qu'aucun légionnaire ne se retrouve seul. «Pour atteindre nos objectifs, souligne un commandant de la compagnie, l'encadrement doit consentir un fort investissement.»

Il lui faudra aussi faire preuve d'une grande patience en attendant que ces néo-légionnaires deviennent autonomes. Le régime est rude durant la formation : entre exercices physiques, entraînement aux manœuvres et découverte des techniques de combat, ces fortes têtes sont bien occupées. Et ont peu de temps libre : pas de téléphone mobile, seulement trois sorties en ville accompagnés de cadres, une activité de cohésion (paint-ball, karting, visite d'un musée, restaurant...).

Au milieu du programme, ils suivent tout de même un «stage d'oxygénation» à Formiguères, dans les Pyrénées-Orientales, où la Légion possède un chalet : l'occasion de pratiquer des activités différentes pour casser le rythme de l'instruction. Malgré cela, en mars dernier, trois engagés (sur 38) ont demandé à partir. «C'était trop dur pour eux», explique le sergent-chef Aubert.

UN LANGAGE COMMUN À MAÎTRISER. A la Ferme, ces hommes se voient inculquer les rudiments du métier de légionnaire, avec sa vie, ses valeurs, sa symbolique et son histoire. Ils doivent aussi - et surtout - apprendre en un temps record la langue de travail de la Légion, le français, absolument inconnue de la majorité d'entre eux à leur arrivée. L'objectif ? Qu'un légionnaire étranger possède un vocabulaire de 500 mots à la fin de sa formation. L'apprentissage se fait selon la méthode «képi blanc», fondée sur la répétition et l'immersion. Les francophones sont mis à contribution et prennent en charge leurs nouveaux camarades.

C'est l'un des credo de la Légion : la solidarité du groupe prime sur la performance individuelle. Dans le même esprit, les encadrants peuvent aussi accorder un surcroît d'attention aux engagés dits «hors barème» : des individus rencontrant des difficultés particulières en français ou dans certaines disciplines sportives, comme la natation (qu'ils soient incapables de parcourir 100 mètres dans un bassin ou qu'ils ne sachent tout simplement pas nager). «Nous leur dispensons un enseignement supplémentaire de mise à niveau afin qu'ils ne soient pas éliminés», explique un sous-officier. En 2013, 29 légionnaires hors barème sur 31 ont ainsi pu être «sauvés».

UN CODE D'HONNEUR À RESPECTER. A la Ferme, la moyenne d'âge est de 24 ans. «Nous recrutons des jeunes, souvent sans repères. Lorsqu'ils arrivent, c'est le déracinement. Le sable devra devenir béton. C'est l'un des rôles assignés à la Légion», précise le commandant François Hervé-Bazin, officier supérieur adjoint du régiment. «Notre savoir-être repose sur une exigence permanente, la solidarité et le respect du code d'honneur», explique de son côté le major Richard Charpentier, figure de la Légion (il a sauté en 1978 sur Kolwezi avec les légionnaires du 2ème Régiment étranger de parachutistes).

Ce code d'honneur, les légionnaires vont l'apprendre par cœur, les étrangers sans le comprendre au début. Les mots feront sens au cours de la formation, et surtout pendant les opérations auxquelles ils participeront. Et en particulier le deuxième enseignement de ce code : «Chaque légionnaire est ton frère d'armes.» «Lors que vous êtes projetés en opération, vous devez faire confiance à votre camarade de gauche et à celui de droite», souligne un chef de section. Les légionnaires risquent en effet leur vie pour leurs collègues. Comme cela a été le cas pour le caporal-chef Rodolphe Penon, infirmier du 2e REP, abattu en Afghanistan en août 2008, alors qu'il se portait au secours d'un blessé.

UN KÉPI GAGNÉ DE HAUTE LUTTE. Les légionnaires achèvent ce premier mois de formation par une marche de 50 kilomètres, lestés de 20 kilos d'équipement. La réussite à cette épreuve leur permettra de recevoir, lors d'une cérémonie, le célèbre képi blanc, symbole d'appartenance à la Légion. Ils passeront ensuite encore douze semaines au quartier Danjou, à Castelnaudary.

Il y aura des échecs, des ruptures de contrat (du fait de l'intéressé ou de l'institution), des inaptitudes médicales, des désertions (moins nombreuses que par le passé). Sans compter ceux qui sont uniquement venus empocher quatre mois de salaire (1.215 euros net, nourris et logés) et qui rentreront ensuite dans leur pays (un phénomène récent et marginal).

Au final, cependant, 80% des hommes arrivés à Castelnaudary quitteront, au terme des seize semaines, le 4e RE pour être ventilés dans les différents régiments de la Légion étrangère.

> UN CORPS D'ÉLITE SÉCULAIRE

La Légion étrangère est créée en 1831 par Louis-Philippe. Les cinq premiers bataillons rejoignent l'Algérie, dont la conquête vient de commencer. Une partie des engagés sont des révolutionnaires devenus réfugiés politiques en France après avoir quitté leur pays.

La bataille de Camerone. En 1863, au Mexique, la légion conquiert son plus beau titre de gloire lors du combat de Camerone. La compagnie du capitaine Danjou - composée de 3 officiers et de 62 hommes - y affronte 2.000 fantassins et cavaliers. Sa résistance héroïque deviendra un symbole, célébré tous les 30 avril par le corps d'armée.

Maintien de la paix. La Légion est de tous les combats : les deux guerres mondiales, l'Indochine, l'Algérie, les actions de maintien de la paix, les opérations extérieures... Environ 36.000 légionnaires ont été tués depuis la création de ce corps d'élite.

MARQUES D'IDENTITÉ ET SIGNES D'APPARTENANCE

Le tatouage constitue depuis longtemps un mode d'expression chez les légionnaires. Les motifs sont divers : armes, grenades, Christ en croix, Vierge, visage féminin, initiales... Il peut marquer la fidélité à un régiment et figurer sur toutes les parties du corps, y compris la langue et les lèvres.

Henri Weill

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14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 16:24
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
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Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
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Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
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Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
Photos de la cérémonie du 11 novembre 2015 à Tours
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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 17:00
Brigitte Garanger-Rousseau représentait le maire de Tours, Serge Babary.

Brigitte Garanger-Rousseau représentait le maire de Tours, Serge Babary.

La Nouvelle République 2/11/2015

« Tous les ans, le 1er ou le 2 novembre, une cérémonie sera consacrée dans chaque commune à la mémoire et à la glorification des morts pour la patrie. Elle sera organisée par la municipalité, avec le concours des autorités civiles et militaires». Cet article d'une loi votée par le parlement a été publié le 26 octobre 1919, au lendemain de la Grande Guerre. Presqu'un siècle plus tard, les cérémonies sont partout organisées. A Tours, c'est au cimetière Lasalle qu'elles ont eu lieu, selon un protocole très précis. Délégué départemental du Souvenir français qui faisait de ce dimanche la journée nationale des sépultures des morts pour la France, le général Vialatte a lu le message de son délégué national. Puis furent déposées les gerbes au pied des monuments 14-18 et 39-45, des stèles des martyrs fusillés de la Résistance, des musulmans morts pour la France, des prisonniers de guerre, des morts d'Indochine et d'Afrique du Nord, du Souvenir français et des rapatriés d'Algérie, par les élus et les représentants des associations patriotiques.

L'AALE 37 était représentée à cette cérémonie.

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 16:57
Élus, associations patriotiques et des jeunes rassemblés pour cette célébration.

Élus, associations patriotiques et des jeunes rassemblés pour cette célébration.

La Nouvelle République 3/11/2015

Ayons une pensée particulière pour nos militaires tombés récemment sur notre territoire et sur les théâtres d'opérations extérieures. C'est par ces quelques mots que Claude Métreau, président de la section d'Amboise du Souvenir français, a ouvert, dimanche, la cérémonie en hommage aux morts des différentes guerres, sur la tombe du soldat inconnu au cimetière des Ursulines. Avant les dépôts de gerbes, dont celle de la ville par le maire Christian Guyon, Claude Métreau a lu le message du président général du Souvenir français, Serge Barcellini, qui explique que « pour vivre ensemble, il faut d'abord partager une histoire commune ».

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 16:54

Pour la première fois depuis sa création, la traditionnelle cérémonie des remises de képis blancs de la Légion étrangère s'est déroulée ce mardi sur les hauteurs du Mont-Saint-Michel.

C'est une tradition vieille comme la Légion étrangère. La cérémonie des képis blancs conclut le premier mois de formation. Elle a lieu habituellement à Castelnaudary. Elle marque officiellement l'entrée de ces soldats dans la légion. Avant cette cérémonie, les 64 "aspirants" se sont levés aux aurores pour effectuer une marche de 15 km entre Saint-Boladre (35) et le Mont-Saint-Michel, la "marche du Képi blanc".

A 17 heures, ils ont reçu le précieux sésame, symbole de leur appartenance à la famille de la Légion étrangère. Parmi ces jeunes engagés volontaires, certains ne sont arrivés en France qu'il y a deux mois.

Source : FRANCE 3 NORMANDIE

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