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Présentation

  • : Le blog de l'Amicale des Anciens de la Légion Etrangère d'Indre-et-Loire
  • : Ce blog présente toutes les activités de l'Amicale. Vous êtes invités à transmettre vos textes et photos pour enrichir ce blog soit en contactant le Président soit en écrivant à zeraldavert@gmail.com
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Profil

  • AALE 37
  • Pierre LORAILLER 
- Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES 
- Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 
- Délégué AALP Région Centre.
  • Pierre LORAILLER - Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES - Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 - Délégué AALP Région Centre.

A.A.L.E. 37

Buts : Entretenir et développer les sentiments de camaraderie et de solidarité qui caractérisent la Légion Etrangère.

Pérenniser le souvenir du Combat de Camerone.

 

Président :

LORAILLER Pierre

Mail : zeraldavert@gmail.com

 

Composition du bureau directeur :

1er Vice-Président : SCHULLER Pierre

2e Vice-Président : Colonel FUSALBA Thierry

Secrétaire et Trésorière : THERET Nadine

 

Président d’Honneur : Général de Brigade (2S) BREUILLE Eric (Ancien Chef de Corps du 1er REG)

 

Administrateurs :  

LEBIGRE Yannick

THERMEAU Jean-Claude

 

Contrôleur aux Comptes :

BERGEOT Dominique

 

Porte-drapeaux :

BENYAHIA Hikmat

GAUTIER Dominique

 

Recherche

Musique

3 mai 2014 6 03 /05 /mai /2014 18:18

De 1945 à 1954, plusieurs centaines de milliers d’hommes ont combattu en Indochine sous les couleurs françaises. Leurs correspondances personnelles, seul lien avec leurs proches, donnent aujourd’hui une vision renouvelée de cette guerre. Ces fils, ces fiancés, ces maris, ces frères confient leurs impressions, leurs sentiments, leurs désillusions. Parmi eux, le lieutenant Lucien Le Boudec, ancien résistant, avait emporté une caméra amateur jusqu’à Diên Biên Phu et livre, en plus de ses lettres, des images exclusives. L’aspirant Yves Arbellot, les lieutenants Chaumont Guitry et de Lattre de Tassigny, tous trois morts pour la France en Indochine, ont eux aussi livré une abondante correspondance, tout comme Pierre-Alban Thomas, officier militant communiste, qui dévoile ses carnets.

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2 mai 2014 5 02 /05 /mai /2014 10:34

02/05/2014

Le colonel Hedin, qui part à la retraite, a été décoré de l'ordre national du Mérite par le général Georgelin. - (Photos NR Hugues Le Guellec)
 
Le colonel Bruno Frémin du Sartel a pris son commandement mercredi. - (Photos NR Hugues Le Guellec)

Une prise d'armes a eu lieu mercredi matin à la caserne du boulevard de la Liberté pour le départ du colonel Hedin, commandant de la direction des ressources humaines (DRH), et la prise de commandement par un Tourangeau, le colonel Bruno Frémin du Sartel.
Il est le frère du vicaire général, le père du Sartel, et a deux autres frères dans la région, l'un agriculteur à Céré-la-Ronde et l'autre chef d'entreprise. Tours correspond à son 3e temps de commandement.
Officier de cavalerie, il a commandé un groupe de chars Leclerc dans le sud de la France. Il a créé et dirigé, pendant trois ans, la base de défense à Saint-Maixent (Deux-Sèvres) dont dépendaient quatre départements.
Durant sa carrière, ce fils de paysan engagé en 1980 est aussi passé par la Légion étrangère (1er REC) Orange (Vaucluse) et Djibouti. Il remplace donc le colonel Hedin, parti à la retraite après 35 ans dans l'armée au sein de laquelle il était entré en 1978 comme aspirant du contingent.
Après l'école militaire interarmes, il a choisi l'infanterie puis est parti en Allemagne, à Soissons (Aisne), à Montpellier (Hérault), à Rouen (Seine-Maritime) et à Mutzig (Bas-Rhin). En opération, il a effectué des séjours en République centrafricaine, en ex-Yougoslavie, deux fois au Kosovo et une fois en Croatie.
En 2010, il s'est occupé du déménagement de la DRH de l'armée de terre de Paris à Tours. A l'occasion de son départ, il a reçu l'ordre national du Mérite (ONM) des mains du général Georgelin, grand chancellier de l'ONM, ancien chef d'état-major des armées.

Deux autres personnes ont aussi été décorées de l'ONM : le colonel Caiazzo et le lieutenant-colonel Leterrier. La médaille militaire a été décernée aux majors Sordet et Lucas et aux adjudants-chefs Leboulche et Doutord.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 18:00

À l'occasion du soixantième anniversaire de la bataille de Dien Bien Phu, Geneviève de Galard, alors convoyeuse de l'armée de l'air, revient sur cet épisode tragique de la guerre d'Indochine.

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20 avril 2014 7 20 /04 /avril /2014 16:44

15/04/2014 – VIDÉO - L’Institution des invalides de la Légion étrangère, aussi appelée Domaine Capitaine Danjou, accueille 91 pensionnaires, qui y sont nourris, logés et soignés. L’institution est située à Puyloubier, dans le sud de la France.

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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 19:07

Capitaine de Borelli, officier de la Légion : « A mes hommes qui sont morts, et particulièrement à la mémoire de Tiebald Streibler, qui m’a donné sa vie le 3 mars 1885 ».

 

Mes compagnons, c’est moi ; mes bonnes gens de guerre,

C’est votre Chef d’hier qui vient parler ici

De ce qu’on ne sait pas, ou que l’on ne sait guère ;

Mes Morts, je vous salue et je vous dis : Merci.

Il serait temps qu’en France on se prît de vergogne

A connaître aussi mal la vieille Légion

De qui, pour l’avoir vue à sa rude besogne

J’ai la très grande amour et la religion.

Or, écoutez ceci : « Déserteurs ! Mercenaires ! »

« Ramassis d’Etrangers sans honneur et sans foi ! »

C’est de vous qu’il s’agit, de vous, Légionnaires !

Ayez-en le cœur net, et demandez pourquoi ?

Sans honneur ? Ah ! passons ! Et sans foi ? Qu’est-ce à dire,

Que fallait-il de plus et qu’aurait-on voulu ?

N’avez-vous pas tenu, tenu jusqu’au martyre,

La parole donnée et le marché conclu ?

Mercenaires ? sans doute : il faut manger pour vivre ;

Déserteurs ? Est-ce à nous de faire ce procès ?

Etrangers ? Soit. Après ? Selon quel nouveau livre

Le maréchal de Saxe était-il donc Français ?

Et quand donc les Français voudront-ils bien entendre

Que la guerre se fait dent pour dent, œil pour œil

Et que des Etrangers qui sont morts, à tout perdre,

Chaque fois, en mourant, leur épargnaient un deuil.

Aussi bien c’est assez d’inutile colère,

Vous n’avez pas besoin d’être tant défendus ;

Voici le Fleuve Rouge et la Rivière Claire

Et je parle à vous seuls de vous que j’ai perdus !

Jamais garde de Roi, d’Empereur, d’Autocrate,

De Pape ou de Sultan, jamais nul Régiment

Chamarré d’or, drapé d’azur ou d’écarlate,

N’allez d’un air plus mâle et plus superbement.

Vous aviez des bras forts et des tailles bien prises,

Qui faisaient mieux valoir vos hardes en lambeaux ;

Et je rajeunissais à voir vos barbes grises,

Et je tressaillais d’aise à vous trouver si beaux.

Votre allure était simple et jamais théâtrale ;

Mais, le moment venu, ce qu’il eût fallu voir,

C’était votre façon hautaine et magistrale

D’aborder le « Céleste » ou de le recevoir.

On fait des songes fous, parfois, quand on chemine,

Et je me surprenais en moi-même à penser,

Devant ce style à part et cette grand mine

Par où nous pourrions bien ne pas pouvoir passer ?

J’étais si sûr de vous ! Et puis, s’il faut tout dire,

Nous nous étions compris : aussi de temps en temps,

Quand je vous regardais vous aviez un sourire,

Et moi je souriais de vous sentir contents.

Vous aimiez, troupe rude et sans pédanterie,

Les hommes de plein air et non professeurs ;

Et l’on mettait, mon Dieu, de la coquetterie

A faire de son mieux, vous sachant connaisseurs.

Mais vous disiez alors : « La chose nous regarde,

Nous nous passerons bien d’exemples superflus ;

Ordonnez seulement, et prenez un peu garde,

On vous attend … et nous on ne nous attend plus ! »

Et je voyais glisser sous votre front austère

Comme un clin d’œil ami doucement aiguisé,

Car vous aviez souvent épié le mystère

D’une lettre relue ou d’un portait baisé.

N’ayant à vous ni nom, ni foyer, ni Patrie

Rien où mettre l’orgueil de votre sang versé,

Humble renoncement, pure chevalerie,

C’était dans votre chef que vous l’aviez placé.

Anonymes héros, nonchalants d’espérance,

Vous vouliez, n’est-ce pas, qu’à l’heure du retour,

Quand il mettait le pied sur la terre de France,

Ayant un brin de gloire, il eût un peu d’amour.

Quant à savoir si tout s’est passé de la sorte,

Et si vous n’êtes pas restés pour rien là-bas,

Si vous n’êtes pas morts pour une chose morte,

O mes pauvres amis, ne le demandez pas !

Dormez dans la grandeur de votre sacrifice,

Dormez que nul regret ne vous vienne hanter ;

Dormez dans cette paix large et libératrice

Où ma pensée en deuil ira visiter !

Je sais où retrouver, à la suprême étape

Tous ceux dont la grande herbe a bu le sang vermeil,

Et tous ceux qu’ont engloutis les pièges de la sape,

Et tous ceux qu’ont dévorés la fièvre et le soleil ;

Et ma pitié fidèle, au souvenir unie,

Va du vieux Wunderli qui tombe le premier

Et suivant une longue et rouge litanie

Jusqu’à toi, mon Streibler, qu’on tua le dernier !

D’ici je vous revois, rangés à fleur de terre

Dans la fosse hâtive où je vous ai laissés,

Rigides, revêtus de vos habits de guerre

Et d’étranges linceuls faits de roseaux tressés.

Les survivants ont dit – et j’ai servi de prêtre !

L’adieu du camarade à votre corps meurtri ;

Certain geste fut fait bien gauchement peut-être,

Pourtant je ne crois pas que personne en ait ri !

Mais quelqu’un vous prenait dans sa gloire étoilée

Et vous montrait d’en haut ceux qui priaient en bas,

Quand je disais pour tous, d’une voix étranglée,

Le Pater et l’Ave – que tous ne savais pas !

Compagnons, j’ai voulu vous parler de ces choses,

Et dire en quatre mots pourquoi je vous aimais :

Lorsque l’oubli se creuse au long des tombes closes,

Je veillerai du moins et n’oublierai jamais.

Si parfois, dans la jungle où le tigre vous frôle

Et que n’ébranle plus le recul du canon,

Il vous semble qu’un doigt se pose à votre épaule,

Si vous croyez entendre appeler votre nom.

Soldats qui reposez sous la terre lointaine,

Et dont le sang me laisse des remords,

Dites-vous simplement : « C’est notre Capitaine

Qui se souvient se nous … et qui compte ses Morts. »

 

Poème du capitaine de Borelli, officier de la Légion. Avec l’aimable autorisation de la Délégation du Souvenir Français de Chine.

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 19:02

07/04/2014

La légion étrangère aura un invité de marque, le prince Albert II de Monaco, lors de la célébration du 151e anniversaire de la bataille de Camerone le 30 avril prochain à Aubagne. Fait exceptionnel, un détachement de la compagnie des carabiniers du Prince sera sous les armes avec les légionnaires, un honneur rarissime!  L'arrière-grand père  d'Albert, Louis II a été officier de la légion étrangère et la principauté est même "première classe d'honneur de la légion".

 
Le thème retenu pour Camerone est : «des étrangers au service de la Liberté : 1914-2014 » :l'histoire de la principauté de Monaco en est une illustration.  En effet,  les liens qui unissent la légion étrangère à la principauté de Monaco sont historiques. Louis II, l’arrière grand-père du souverain actuel,  et auquel le prince Rainier III a succédé à sa mort en 1949 , a  été un officier émérite de la légion étrangère.
 

Le général de Monaco

Dans l’armée française, il est même appelé le « général de Monaco »
Il a été d’abord affecté comme sous-lieutenant à titre étranger au 1er Régiment étranger en1893 à sa sortie de l’École de Saint-Cyr. Ayant quitté l’armée en 1899 pour assister son père dans la gestion des affaires de la principauté, il s’est engagé en 1914 pour la durée de la guerre avec le grade de capitaine à titre étranger. Il a quitté l’armée française avec le grade de général de brigade en 1922 pour succéder à son père, Albert Ier. En 1947, à l’occasion du 25e anniversaire du règne de Louis II, la principauté a été faite «Légionnaire de 1re classe d’honneur», et fait unique, le prince est sergent-chef honoraire de la Légion étrangère.

Au décès du prince Louis II, en 1949, le catafalque a été conduit à la cathédrale de Monaco par les Carabiniers du prince et des légionnaires. Derrière le cercueil, c’est un légionnaire qui a porté la médaille militaire du prince.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 20:03

Sous les ordres du général ROLLET.

Tous ceux qui ont servi au 3°REI connaissent l’importance de ce fait d’armes dans l’histoire du régiment : « Du  2  au  14  septembre,  après  douze jours de lutte épique, est parvenu à rompre la ligne Hindenburg sur le plateau de Laffaux, capturant un régiment entier.

Si vos activités vous le permettent, vous êtes cordialement  invités à cette  cérémonie du 14 septembre à 18 heures 30 sous l’arc de triomphe (tenue 21, tenue d’ancien ou tenue civile).

Signé : Général de division Christophe de SAINT CHAMAS, Commandant la légion étrangère.

Infos FSALE
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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 19:54

Quand grondaient  les canons
D'autres avancèrent pendant que d'autres mouraient  au front .
C'était la grande guerre
Et quand l'apocalypse c'est  fait Maitre ,
De l'oeuvre des hommes , dans les tranchées de l'enfer .
A tant de mutineries , que nulle prière
Pouvaient  adoucir dans le froid de l'hiver ...


Quand grondaient  les canons
L'écho sonnait   la mort ,
La douleur pour linceul , témoin d'un triste sort
Ils étaient  là par milliers étendus sur le sol
Mortellement touchés , sous ce poids , nos coeurs encore  en frissonnent
Massacre et cruauté l'homme c'est fait indigne
D'être fils de l'humanité  et l'assassin de tant de victimes .


Quand grondaient  les canons
O ! ciel toi qui veillait  sur l'ombre des tranchées
Bayonnette au canon et de  la boue sous leurs  pas
Hommage à ces  soldats , enfants de la patrie
Témoins de cette guerre et d'espoirs maudits
Renaissez de vos cendres en ce saint centenaire
Et restez à jamais les ombres de cette grande guerre


Marie Quilichini

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 19:47

Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord.

 

La légion étrangère se porte comme un charme côté recrutement. Mais elle ne va pas passer à côté de la réforme et des déflations. En déménageant progressivement d'Orange à Carpiagne, où il remplacera le 4e régiment de dragons dissous, le 1er REC (étranger cavalerie) perdra un escadron. Même issue pour le 2e REI (étranger infanterie) de Nîmes qui va perdre une compagnie. Ce qui agace et inquiète au plus haut point le chef de la légion étrangère, le général Christophe de Saint-Chamas...

 

La légion étrangère, qui représente environ 7 000 hommes, ne connaît pas de soucis de recrutement, contrairement au reste de l'armée de terre. Si les candidats proviennent moins d'Europe de l'Est et des Balkans, les pays occidentaux du monde entier deviennent une source solide. Curiosité, en raison des quotas de discrimination positive en place dans l'armée sud-africaine, les volontaires afrikaners sont nombreux.

 

Pour le reste, les chiffres sont plus secs comme dans le reste des armées. Ainsi, en prenant la route d'Orange à Carpiagne (706 militaires, 8 civils), le 1er REC perd un escadron. Il compte trois escadrons d'AMX 10RC, un de commandement et de logistique, un d'éclairage et d'investigation et un d'aide à l'engagement (anti-char).

 

Pour justifier le départ d'Orange, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, avait invoqué des travaux trop importants pour accueillir les véhicules du programme Scorpion, attendus à partir de 2018-2019. Il avait valorisé les capacités d'entraînement supérieures de Carpiagne à côté de Marseille et la proximité du siège de la Légion d'Aubagne. Mais il n'avait pas évoqué cette perte.

 

Un autre régiment de la 6e BLB (brigade légère blindée), le 2e REI (cinq compagnies de combat, une de commandement et de logistique, une d'éclairage et d'appui, plus une de réserve) va abandonner une compagnie. L'éclairage régimentaire restant une prérogative de la cavalerie.

 

" Alors que le poids du soutien est le même. On touche au personnel de combat ", s'inquiète le général de Saint Chamas, patron de la Légion depuis le 1er septembre 2011.

 

 

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 19:56
 
 
Dans le cadre de ces commémorations, le 26 avril 2014 une cérémonie nationale sera présidée par le ministre délégué chargé des Anciens combattants, au Mémorial national des guerres en Indochine à Féjus (Var) et un Airbus sera affrété pour l'occasion au départ de Roissy Charles-de-Gaulle (navette A-R à partir des Invalides - départ 9h30).
 
Il reste encore quelques places et si donc au sein de nos Amicales, quelqu'un serait interéssé pour participer à cette journée de commémoration, il est demandé à l'Amicale de bien vouloir l'inscrire par mail (fsale (AT) legionetrangere.fr) ou en cliquant ici en précisant :
l'Amicale, le NOM - Prénom, qualité (président, porte-drapeau, membre du bureau, adhérent ancien légionnaire ou sympathisant, ancien combattant de l'Indochine ou autre ..., etc.), adresse mail à laquelle pourront lui être envoyées les informations utiles.
Les demandes seront prises en compte prioritairement pour ceux concernés par ce conflit (à préciser : ancien d'Indochine, fils d'un ancien d'Indochine ...), puis dans l'odre d'arrivée des demandes.
Infos FSALE
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