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Présentation

  • : Le blog de l'Amicale des Anciens de la Légion Etrangère d'Indre-et-Loire
  • : Ce blog présente toutes les activités de l'Amicale. Vous êtes invités à transmettre vos textes et photos pour enrichir ce blog soit en contactant le Président soit en écrivant à zeraldavert@gmail.com
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Profil

  • AALE 37
  • Pierre LORAILLER 
- Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES 
- Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 
- Délégué AALP Région Centre.
  • Pierre LORAILLER - Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES - Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 - Délégué AALP Région Centre.

A.A.L.E. 37

Buts : Entretenir et développer les sentiments de camaraderie et de solidarité qui caractérisent la Légion Etrangère.

Pérenniser le souvenir du Combat de Camerone.

 

Président :

LORAILLER Pierre

Mail : zeraldavert@gmail.com

 

Composition du bureau directeur :

Président d’Honneur : Général de Brigade (2S) BREUILLE Eric (Ancien Chef de Corps du 1er REG)

Vice-Président : BERTHE Francis  (Ancien du 2ème REP)

Secrétaire et Trésorière : Mlle THERET Nadine

 

Administrateurs :  

DUPUIS Rémi

LEBIGRE Yannick

THERMEAU Jean-Claude

 

Contrôleur aux Comptes :

BERGEOT Dominique

 

Porte-drapeaux :

BENYAHIA Hikmat

GAUTIER Dominique

 

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Musique

10 avril 2016 7 10 /04 /avril /2016 18:22

centrepresseaveyron.fr

6 avril

Impressionnante cérémonie de remise de képis blancs que celle qui s’est déroulée, mardi après-midi, dans la cour de la préfecture de l’Aveyron. En déclamant en chœur leur honneur et leur fidélité à la France, les 47 légionnaires ont impressionné aussi bien les élus et autorités militaires présentes, que les Ruthénois qui passaient par là.

 

Issus de 29 nationalités différentes (dont beaucoup de Népalais et d’Ukrainiens), ils ont rejoint la Légion il y a quelques semaines. Et cette cérémonie officie en quelque sorte leur intégration. État d’urgence oblige, c’est dans un lieu «fermé» que celle-ci s’est déroulée.

 

«En temps normal, c’est en public» précise l’officier de communication Bazin. «Pour qu’ils rencontrent ceux pour qui ils vont servir ». Avant d’arriver à Rodez, ils ont d’ailleurs effectué 50 kilomètres de marche en deux jours, depuis Saint-Beauzély.

 

Quelques-uns rejoindront le camp du Larzac

Cette cérémonie n’a pas de véritables liens avec l’arrivée de la 13e demi-brigade de la Légion étrangère dans le camp du Larzac. Ces recrues sont actuellement incorporées au sein du 4e Régiment étranger de Castelnaudary.

 

Là-bas, ces recrues suivent une formation intensive destinée à leur inculquer «les valeurs de la Légion» et à leur enseigner le français. «Ils sont en formation depuis trois semaines, ont acquis une centaine de mots. Ils devraient en acquérir 500 au terme de leurs 4 mois de formation», explique l’officier de communication. Après quoi, ils rejoindront leur nouvelle affectation, qui sera le camp du Larzac pour quelques-uns d’entre eux.

 

Après la cérémonie, dans les salons de la préfecture, où les légionnaires ont entonné le traditionnel «Tiens, voilà du boudin», le colonel Dufour a rappelé l’importance que revêt ce moment. «Ils rejoignent leur nouvelle patrie, la Légion, prêts si nécessaire à se sacrifier pour la France. Et je vous demande juste, si un jour vous en croisez, d’avoir une pensée au fond de vous pour l’engagement de ces hommes».

 

Ravi de recevoir la Légion étrangère, le préfet Louis Laugier a souligné pour sa part que tout serait fait pour le bon accueil des légionnaires sur le Larzac. «Et j’espère que Rodez restera gravé dans votre mémoire comme la ville où vous avez reçu votre képi» leur a-t-il lancé.

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3 avril 2016 7 03 /04 /avril /2016 18:33

 

Mise à jour : 29/03/2016 13:14 - Auteur : Capitaine Seznec

Installé depuis 1966, à Aubagne, au sein de l’ancien domaine du château de La Demande, agrandi et rénové de 2011 à 2013, le Musée de la Légion étrangère est l'unique musée d'histoire militaire de la région marseillaise. Il invite chacun à découvrir cette institution de renommée mondiale et ces étrangers venus servir la France.

 

 

Le parcours muséographique permanent vous plonge dans une épopée qui commence avec la création de la Légion étrangère en 1831 et vous fait voyager dans le temps, sur l’ensemble des continents, jusqu'aux théâtres d'opération les plus récents. Le musée possède également une annexe consacrée aux uniformes légionnaires, au château de Puyloubier.

 

2000 objets chargés de souvenirs et d'émotions y sont exposés. Ils évoquent l'histoire de la Légion étrangère, faite d'expéditions lointaines, de travaux pharaoniques et de combats héroïques.

 

Droits : Armée de Terre

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3 avril 2016 7 03 /04 /avril /2016 18:30

Beau geste, Hans Hartung, peintre et légionnaire à Aubagne

 

Peintre majeur du XXème siècle, maître de l’abstraction lyrique et l’un des précurseurs de l’action painting, Hans Hartung est doublement à l’honneur à Aubagne où il est exposé du 16 avril au 28 août à la fois dans Le Centre d’art les Pénitents noirs et au musée de la Légion étrangère.

 

Cette double exposition, « Beau geste, Hans Hartung, peintre et légionnaire », produite avec le concours de la Fondation Hartung-Bergman tend à confronter sur deux espaces une partie de la production artistique de Hans Hartung (1904-1989) :
La désolation de la guerre, au musée de la Légion étrangère et les sublimations du sud, au Centre d’art les Pénitents noirs. « Beau geste, Hans Hartung, peintre et légionnaire », c’est La désolation de la guerre où le public pourra découvrir des pièces d’archives et des oeuvres inédites réalisées à la mine de plomb, au pastel, au fusain, à l’encre, à l’huile et/ou à la tempera : 6 toiles de 1942 à 1945, 12 peintures sur papier de l’été 1940, 10 oeuvres sur papier de 1939 et 17 oeuvres sur papier de 1942-1944 dans des vitrines. Période figurative de l’artiste, certaines oeuvres sont parfois d’inspiration picassiennes.

 

Les sublimations du Sud mettent en scène 17 acryliques sur toiles de différents formats créées entre le 11 et le 16 juillet 1989. Cinq journées où l’artiste a peint dans l’urgence, sorte de sursaut dans son oeuvre qui marque l’idée d’une finitude. Handicapé par son amputation, Hans Hartung parvient à mettre en place des moyens de création qui subliment son invalidité. Ses oeuvres gagnent en ampleur et en puissance grâce à des systèmes de projection qui lui permettent d’appliquer la peinture sur la toile. Cette exposition est la marque de l’engagement militaire d’Hans Hartung. Son engagement dans la Légion aux côtés de soldats de toute nationalités et religions et celui face au nazisme.

 

Les expositions seront l’occasion d’organiser des actions de médiations auprès des publics scolaires et de groupes constitués. Des événements culturels prendront vie autour de ces expositions. Hans Hartung aimait à créer en musique, concerts et intermèdes musicaux donnés par les élèves et professeurs du conservatoire de musique et de danse d’Aubagne rythmeront les deux expositions.

 

Le commissariat de l’exposition est confié à Fabrice Hergott, directeur du musée d’Art Moderne de la Ville de Paris et la scénographie à Cécile Degos qui signe depuis près de 15 ans des scénographies pour des sujets aussi bien classiques que contemporains.

 

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28 mars 2016 1 28 /03 /mars /2016 11:28

Défense - Armée - Légion étrangère

 

La Solidaire, c'est une épreuve cyclosportive caritative organisée par le 4e régiment étranger de Castelnaudary au profit des anciens de la Légion. La 7e édition aura lieu du 14 au 17 juin, au départ de Castelnaudary.

 

À la Légion étrangère, la solidarité n'est pas un vain mot. Mieux, elle est inscrite dans le marbre, récitée même, avec le code d'honneur, par les jeunes engagés volontaires lorsqu'ils coiffent leur képi blanc. Solidarité envers le camarade «quelle que soit sa nationalité, sa race ou sa religion», solidarité aussi envers les anciens, tous ceux qui, un jour, ont porté le béret vert, s'ils ont besoin d'aide. «Chaque légionnaire qui a effectué un contrat, pour peu qu'il ait servi avec honneur et fidélité, reçoit en partant un certificat de bonne conduite – c'est le cas de 97 % d'entre eux. Il devient ainsi ayant-droit à vie de la solidarité Légion», souligne le commandant François Hervé-Bazin, du 4e régiment étranger de Castelnaudary, qui explique comment, à ce titre, si l'ancien képi blanc est un jour «âgé ou pas, sans ressources, sans emploi ou bien malade… il sera accueilli à Puyloubier, dans les Bouches-du-Rhône, à l'Institution des invalides de la Légion étrangère. Là, on lui confiera, dans la mesure de ses capacités, un travail à l'atelier céramique, vigne ou reliure de cuir, et il recevra un peu d'argent pour vivre dignement. On dit de la Légion qu'elle est une seconde chance ; là, c'est la deuxième chance de la deuxième chance».

 

 

Puyloubier n'est pas une fin, c'est même tout le contraire, c'est une aide, le pied à l'étrier pour repartir. «On considère que notre plus belle réussite, c'est quand un résidant en part avec un projet, un emploi…». La solidarité a un coût, et l'institution, pour fonctionner, a besoin d'un million d'euros par an sans aucun soutien de l'État français. Le bénéfice de l'activité des foyers des régiments, la vente du vin ou des céramiques de Puyloubier rapportent chaque année quelque 800 000 €. Les 200 000 € manquants, ce sont les dons, legs et actions de solidarité comme… la Solidaire, la bien nommée, née en juin 2010 de la volonté du 4e régiment étranger.

De la sueur contre des dons pour les anciens

La Solidaire, c'est une randonnée cyclosportive caritative, un peloton d'une centaine de coureurs – chacun roule pour un ancien de Puyloubier, c'est un véritable exploit sportif avec, au fil des éditions, le passage de cols prestigieux inscrits au Tour de France. La Solidaire, c'est un appel aux dons et, depuis l'an dernier, une cagnotte, via le Net, sur Leetchi ; la Solidaire c'est aussi et surtout un but : améliorer le quotidien des anciens à Puyloubier. C'est un formidable élan qui a permis, au fil des années, de belles réalisations dont le remplacement des chaudières, la rénovation de menuiseries, l'installation d'une ventilation mécanique contrôlée, pour n'en citer que quelques-unes. Cette année, la Solidaire se déroulera du 14 au 17 juin. Elle partira de Castelnaudary vers Leucate, via le pic de Nore et Mazamet, et reviendra dans la cité chaurienne où elle compte de nombreux soutiens tant dans la population que dans le monde économique. L'ambition est de récolter 120 000 € qui permettraient de refaire la boucle d'eau chaude dans les chambres des pensionnaires et de réhabiliter un hangar de stockage dont le toit menace de s'effondrer. Les dons, pour l'instant, s'élèvent à près de 30 000 €. Un bon début. L'an dernier, avec la Solidaire 2014, ce sont plus de 101 000 € de travaux qui ont pu être réalisés.

 

Pour participer : c'est soit par Internet, sur https ://www.leetchi.com/c/solidarite-de-institution-des-invalides-de-la-legion-etrangere ; ou par chèque à l'ordre du FELE à adresser à l'officier supérieur adjoint du 4e régiment étranger, quartier Capitaine-Danjou, 2400, route de Pexiora, 11452 Castelnaudary cedex. Possibilité de défiscalisation à partir de 100 € et, pour les entreprises d'être sponsor dès 2000€.

 

Gladys Kichkoff

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22 mars 2016 2 22 /03 /mars /2016 19:48

CENTRE PRESSE

22/03/2016 05:04 | Civray | CHATAIN |

Deux belles expositions d'anciens combattants

Des centaines de personnes sont venues sur Châtain pour admirer les expositions proposées par Marie-Claude Bourgoin et Bernadette Bouty.

Marie-Claude Bourgoin, secrétaire de l'association des anciens combattants de Châtain, a effectué un travail de recherche important auprès des habitants d'Asnois et de Châtain: elle a collecté des informations sur la guerre d'Algérie, du Maroc et de la Tunisie et, après en avoir fait des copies, elle les a classées afin de les présenter au public. Ces informations, malgré le temps qui passe, restent de douloureux souvenirs: « Il est important que les plus jeunes viennent adhérer en tant que sympathisant aux associations d'anciens combattants, ceci pour ne pas oublier, ne pas reproduire les erreurs du passé. »

De nombreux visiteurs

Bernadette Bouty, membres de l'APEPCA, a enrichi la collection sur les poilus qui a été présentée en novembre dernier sur différentes communes du canton avec des photos, des cadres, des douilles d'obus et des livres exceptionnels et rares de 1922.
Robert Dardillac, le président de l'association des anciens combattant de Châtain, est fier de voir ces travaux accomplis et récompensés par la présence de nombreux visiteurs.

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20 mars 2016 7 20 /03 /mars /2016 19:56

Le chef de l’État ayant déclaré que « la France est en guerre », il lui faut maintenant la conduire. Il appartient au Premier ministre de définir la stratégie générale et de mettre en œuvre de manière cohérente celles des différents ministères pour vaincre. Pour cela, il faut agir non seulement contre les terroristes actifs et identifiés, mais aussi, et simultanément, sur les causes plus profondes qui nourrissent un ennemi potentiel susceptible de se développer.

 

Où en sommes-nous, alors que le Premier ministre vient de déclarer, il y a quelques jours, que nous serons l’objet d’autres attaques de masse et qu’au Maroc, récemment, un attentat à l’arme chimique aurait été déjoué ?

 

Désigner l’ennemi

Il faut le faire de manière claire et précise sans se cacher derrière des mots abscons.

Qui sont-ils ceux qui assassinent sur notre sol ? Nous le savons bien : ce sont les « fous de Dieu » nourris à la drogue de l’islam radical, comme l’étaient hier les idéologues imprégnés du nazisme et du communisme.

Leur mode d’action privilégié en France est pour l’instant le terrorisme sous la forme d’une violence massive, brutale et médiatisée.

Dans le monde arabo-musulman, elle prétend s’inspirer de la charia pour justifier la soumission des personnes, la conquête de territoires afin de disposer de ressources financières et constituer ainsi des bases qui permettront de porter la terreur dans notre pays.

Désigner l’ennemi, Daesh et autres groupes terroristes de la nébuleuse djihadiste, se révèle indispensable pour éviter les confusions, permettre de mobiliser les Français et pour définir les meilleures stratégies à mettre en œuvre, non seulement militaire, sécuritaire, judiciaire et diplomatique, mais aussi financière, éducative, médiatique, démographique et technique, coordonnées dans un temps qui sera long, et dans l’espace, selon des objectifs clairs. Rien ne serait pire que de laisser se développer, pour quelque raison que ce soit, des zones de non droit comme autour de Calais ou dans certains quartiers de grandes villes françaises, véritables zones de repli et refuges pour les terroristes comme l’est apparemment devenue la commune de Molenbeeck en Belgique.

 

Définir les buts de guerre

C’est répondre à la question : pourquoi faisons- nous la guerre ?

Il faut que tous les Français aient bien conscience de ce qui nous menace aujourd’hui et plus encore demain. Plutôt que de dénoncer les stigmatisations et amalgames, montrons les faits et expliquons les mécanismes terroristes.
Nous nous battons pour notre liberté, celle qui est constitutive de notre peuple. Il est composé d’hommes et de femmes libres qui entendent le demeurer, fût-ce au prix de leur vie, car la liberté est l’héritage le plus précieux que nous ayons reçu des générations précédentes.

Elles ont su nous le transmettre, au prix d’immenses sacrifices, ceux des poilus de Verdun comme ceux des combattants de Bir Hakeim, de Monte Cassino et de la Résistance.

 

Mobiliser et agir

Cette guerre concerne en priorité l’État et les institutions régaliennes, mais aussi tous les Français sans exception. Chacun a un rôle à jouer : enseignants, journalistes et chaque Français qui peut, par sa vigilance, son civisme et ses compétences, aider les forces de sécurité et parfois, très directement, sauver des vies. Face à un adversaire qui paraît insaisissable car il se fond dans la population, chaque citoyen doit se sentir concerné et agir en combattant afin de créer l’incertitude chez l’ennemi et aider à le démasquer avant qu’il ne tue.

Dans l’urgence, l’armée s’est déployée en renfort des forces de sécurité sur le territoire national, mais elle ne peut maintenir une telle posture dans la durée et dans des tâches de gardiennage sans réduire son entraînement, abaisser son niveau opérationnel et restreindre ses capacités d’action et d’intervention hors de la Métropole où elle mène simultanément le dur « combat de l’avant ».

En revanche, en appui des forces de sécurité, elle pourrait sans doute mener, avec des moyens spécialisés, des actions dynamiques dans certaines zones dont l’accès est parfois interdit par des bandes qui font régner leur loi et non celle de la République.

C’est aujourd’hui l’occasion d’éradiquer ces enclaves de non-droit obéissant aux lois claniques, d’y réimplanter l’État pour substituer aux trafics et pressions en tout genre une politique éducative et immobilière adaptée et une formation civique et professionnelle vigoureuse inculquant les valeurs de respect et de travail. Dans ce domaine, d’ailleurs, des anciens cadres de la Défense, de la police, de la gendarmerie et de la justice, entre autres, pourraient jouer un rôle actif.

La nouvelle guerre qui nous est imposée sera sans aucun doute longue et difficile. Elle ne peut toutefois nous surprendre puisque l’adversaire nous en a menacés depuis longtemps.

Elle ne doit pas non plus nous effrayer, mais elle exigera beaucoup de clairvoyance et de courage. Encore faut-il qu’au plus haut sommet de l’État on explique, on mobilise et on conduise cette guerre en y consacrant tous les moyens nécessaires.

Aussi, que l’on donne aux armées, instrument premier de la Défense et expression de l’unité nationale, les ressources indispensables à sa remontée en puissance. Il en va du succès de nos armes.

La confiance se nourrit de paroles mais aussi d’actions. Nous avons entendu des paroles guerrières, il faut maintenant passer aux actes et faire preuve de fermeté, de détermination et de foi en notre pays.

 


La REDACTION de l’ASAF

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20 mars 2016 7 20 /03 /mars /2016 19:50

France 3

 

Une cérémonie militaire officielle s'est déroulée mercredi dans le village de la Cavalerie près du camp du Larzac. Etaient présents pour cette prise d'armes une partie des militaires de la légion étrangère déjà en poste sur le camp.

  • Par Michel Pech
  • Publié le 17/03/2016 | 16:21, mis à jour le 17/03/2016 | 16:29

 

Première sortie officielle pour la toute nouvelle unité de la légion étrangère sur le Larzac. Mercredi soir à la Cavalerie, 120 militaires ont été rassemblés devant les remparts de la cité templière pour la cérémonie de prise de commandement.
En pleine installation depuis janvier sur le camp du Larzac, cette 13ème demi-brigade retrouve donc le territoire national qu'elle avait quitté à sa création en 1940.


Un régiment interarmé voué à des missions diverses
Ces militaires peuvent être engagés en opérationsur le territoire national dans le cadre de la mission "sentinelle", dès cet été.
Ils peuvent aussi, bien sur, être appellés à intervenir en opérations extérieures.
La légion étrangère devrait ici compter jusqu'à 1200 hommes. Elle sera au complet d'ici 2018.


Une présence militaire parfois critiquée
Cette augmentation des effectifs militaires dans le camp du larzac entraine une certaine inquiétude chez ceux qui pensent que ces militaires vont à l'avenir franchir un peu trop facilement les limites du camp; ceux-là craignent que le Larzac ne devienne un vaste espace d'entrainement.
D'autres, au contraire, trouvent bénéfiques cette présence. L'arrivée de ces centaines de militaires et de leur famille devraient en effet entrainer un renouveau économique dans toute la région.

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13 mars 2016 7 13 /03 /mars /2016 18:11

La FSALE, rappelle conformément au communiqué du Président de la Fédération nationale André Maginot (ci-joint), dont elle est "Groupement n°1", qu'elle refuse également toute participation aux cérémonies du 19 mars.

Communiqué concernant les commémorations du 19 Mars 2016
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13 mars 2016 7 13 /03 /mars /2016 17:06
Photos de l'AG de la FNCV du 12 mars 2016 à Tours
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10 mars 2016 4 10 /03 /mars /2016 19:46

Chaque matin, Franck Ferrand nous fait revivre l'histoire à travers les évènements qui ont marqué la date du jour.

Nous sommes le 9 mars 1831,

Le jour de la fondation des plus célèbres corps d’armée : la légion étrangère. C’est un décret du roi Louis-Philippe qui crée la légion pour encadrer les recrues étrangères.

Comment faisait-on avant ?

Avant la légion, il existait des régiments par nationalité. A partir de cette date, ils seront rassemblés. Au départ, cela dit, les différents bataillons de la légion étaient constitués par nationalité. Mais en 1835, "l’amalgame" s’impose, toutes les nationalités sont mélangées et le français est la langue obligatoire. C’est ce qui va faire la cohésion et l’une des particularités de la légion.

Quelles sont les autres particularités d’ailleurs ?

Elles sont nombreuses. D’abord, la légion ne combat qu’en dehors du territoire continental. Le premier fait d’arme de la légion a lieu en Algérie dès 1831. Les légionnaires s’y taillent d’entrée une réputation d’hommes vaillants, courageux, et durs à la douleur. C’est d’ailleurs une autre des particularités de la légion : il y règne une sévérité et une discipline inégalées. En 1863, la légion va s’illustrer dans ce qui reste aujourd’hui encore l’un de ses plus hauts faits d’arme : la bataille de Camerone au Mexique. Elle oppose 2.000 soldats mexicains à 63 légionnaires assiégés dans une hacienda. Ils résisteront une journée entière. A la fin, il n’en restera que six ! C’est à ce moment-là que la légende de la légion est née.

N’importe qui peut s’y engager ?

Oui. La recrue n’est même pas obligée de donner son véritable nom. Encore faut-il réussir les épreuves de recrutement extrêmement difficiles. C’est le prix à payer pour porter le célèbre képi blanc et chanter la marche des légionnaires.
On ne sait exactement quelle est l’origine de cette marche, le boudin. Peut-être à cause des toiles de tente roulées, en forme de boudin… Mais c’est une autre histoire…

Et l’histoire, on la retrouve à 14 heures, sur Europe1.

Nous revivrons l’expédition incroyable de Duguay-Trouin à Rio, en 1711.

Par Franck FERRAND

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