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Présentation

  • : Le blog de l'Amicale des Anciens de la Légion Etrangère d'Indre-et-Loire
  • : Ce blog présente toutes les activités de l'Amicale. Vous êtes invités à transmettre vos textes et photos pour enrichir ce blog soit en contactant le Président soit en écrivant à zeraldavert@gmail.com
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Profil

  • AALE 37
  • Pierre LORAILLER 
- Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES 
- Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 
- Délégué AALP Région Centre.
  • Pierre LORAILLER - Ancien Caporal au 1er R E P et de la Police Militaire à SIDI BEL ABBES - Président de l’AALE d’Indre et Loire depuis le 01/01/2003 - Délégué AALP Région Centre.

A.A.L.E. 37

Buts : Entretenir et développer les sentiments de camaraderie et de solidarité qui caractérisent la Légion Etrangère.

Pérenniser le souvenir du Combat de Camerone.

 

Président :

LORAILLER Pierre

Mail : zeraldavert@gmail.com

 

Composition du bureau directeur :

Président d’Honneur : Général de Brigade (2S) BREUILLE Eric (Ancien Chef de Corps du 1er REG)

Vice-Président : BERTHE Francis  (Ancien du 2ème REP)

Secrétaire et Trésorière : Mlle THERET Nadine

 

Administrateurs :  

DUPUIS Rémi

LEBIGRE Yannick

THERMEAU Jean-Claude

 

Contrôleur aux Comptes :

BERGEOT Dominique

 

Porte-drapeaux :

BENYAHIA Hikmat

GAUTIER Dominique

 

Recherche

Musique

28 décembre 2016 3 28 /12 /décembre /2016 18:59
LA NOUVELLE REPUBLIQUE
8 DECEMBRE 2016

Conservés aux archives municipales, les dessins de guerre de Marcel Durieux sont exposés et publiés dans un bel ouvrage. Un témoignage passionnant.

Peut-être plus que les mots, les dessins du légionnaire Marcel Durieux donnent une idée de ce qu'a été la guerre dans les tranchées. Affûté comme une baïonnette, son crayon saisit sur le vif ou a posteriori la vie au quotidien des soldats dans la Champagne, l'Aisne, la Somme et enfin la Lorraine. Son trait ressemble à celui de la gravure selon la technique de la pointe sèche, la plus à même de creuser des sillons, dans le ciel, les campagnes ou sur le visage des Poilus.

A la fin de l'ouvrage, certains dessins, des œuvres d'après-guerre certainement, sont même en couleurs. À l'inverse de beaucoup de dessins de propagande, le style de Marcel Durieux ne cherche pas à magnifier le soldat, à l'ériger au rang de mythe, mais le montre parfois aussi abîmé que le théâtre des batailles.

Au Fort de Vaux comme à Camerone

Né en Belgique en 1889, Marcel Durieux a vécu au Canada puis il est venu en France en 1914 pour s'enrôler dans la Légion étrangère. Il a participé à de nombreuses offensives, souffert des gaz. Avec le régiment de marche de la Légion étrangère, il a illustré les combats jusqu'en 1918 au nord de Soissons ce qui lui a valu sa neuvième citation à l'ordre de l'armée et l'attribution de la fourragère double aux couleurs de la Légion d'honneur et de la Croix de guerre.
Après la guerre, il ne retourna pas en Belgique ni au Canada où il avait vécu mais il a fini par s'établir dans la Vienne où il mourut en 1976 à Iteuil. De lui, on ne sait pas grand-chose parce que personne n'a trop creusé. L'avant-propos est signé par le général de division Jean Morin et les dessins sont commentés par un militaire de la direction des ressources humaines de l'armée de Terre, de Tours, le lieutenant-colonel Philippe Pasteau. Il a déjà consacré un livre à l'histoire des Tourangeaux dans la Grande guerre, engagés sur toutes les grandes batailles dans l'Est. L'exposition présentée aux archives municipales suit la chronologie de toute la guerre.
« Je pense que Marcel Durieux n'a pas toujours été en première ligne, du moins plus à partir de 1915. Ses dessins montrent beaucoup de roulante, d'artillerie, caractéristique de l'arrière. Son dessin sur la reddition du Fort de Vaux, avec les Allemands qui présentent les armes au commandant Raynal et à ses hommes, me fait penser à Camerone, en 1863, avec les Mexicains qui ont fait de même. Mais Durieux n'a pas participé à cette scène. »
Ses dessins sont conservés aux archives de la Ville de Tours, dans le fond de l'amicale des 32e et 232e régiments d'infanterie.

« La légion étrangère au combat 1914-1918 », dessins de Marcel Durieux, texte du lieutenant-colonel Philippe Pasteau. Éditions La Simarre : 12 €. Exposition aux archives municipales, à la chapelle Saint-Eloi, jusqu'au 23 décembre, de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 heures.

Raphaël Chambriard
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28 décembre 2016 3 28 /12 /décembre /2016 18:49

LA NOUVELLE REPUBLIQUE

14 DECEMBRE 2016

en bref

Réuni à Poitiers, le conseil d'administration de la Société des auteurs francophones a élu son nouveau bureau. Jacques Marzac, auteur chauvinois de nombreux ouvrages tels « L'Affaire Branly », « Albert Turpain » et bientôt « Jacques de Liniers », succède à Georges Pagé, membre de l'académie des sciences d'outre-mer, passionné d'aviation et auteur de « L'aviation française 1914-1918 », « La bataille aérienne de Verdun », « Henry de Monfreid », etc. Le nouveau bureau se compose du président Jacques Marzac, des vice-présidents Angèle Koster (par ailleurs présidente de la SAPC), Brigitte de Larochelambert, et Michel Hayard, des secrétaires Michèle Laurent et Marie Roland, et des trésoriers Colette Marzac et Julien Joguet. La prochaine assemblée générale est fixée au mardi 31 janvier.

La Grande Guerre à la pointe du crayon

Peut-être plus que les mots, les dessins du légionnaire Marcel Durieux donnent une idée de ce qu'a été la guerre dans les tranchées. Affûté comme une baïonnette, son crayon saisit sur le vif ou a posteriori la vie au quotidien des soldats dans la Champagne, l'Aisne, la Somme et enfin la Lorraine. Son trait ressemble à celui de la gravure selon la technique de la pointe sèche, la plus à même de creuser des sillons, dans le ciel, les campagnes ou sur le visage des poilus. A la fin de l'ouvrage, certains dessins sont même en couleurs. À l'inverse de beaucoup de dessins de propagande, le style de Marcel Durieux ne cherche pas à magnifier le soldat, à l'ériger au rang de mythe, mais le montre parfois aussi abîmé que le théâtre des batailles.
Né en Belgique en 1889, Marcel Durieux a vécu au Canada puis il est venu en France en 1914 pour s'enrôler dans la Légion étrangère. Après la guerre, il ne retourna pas en Belgique ni au Canada où il avait vécu mais il a fini par s'établir dans la Vienne où il mourut en 1976 à Iteuil. Ses dessins sont conservés aux archives de la ville de Tours, dans le fond de l'amicale des 32e et 232e Régiment d'Infanterie.

« La Légion étrangère au combat 1914-1918 » dessins de Marcel Durieux, texte du lieutenant-colonel Philippe Pasteau. Éditions La Simarre. 12 €

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28 décembre 2016 3 28 /12 /décembre /2016 18:45

LE PARISIEN

19 DECEMBRE 2016

 

"Accrochez-vous bien, on va décoller ", résonne une voix dans le magnétophone. « Mais s'accrocher à quoi ? », répond une femme, faussement paniquée. Samedi et hier, c'était porte ouverte au fort de Nogent, à Fontenay-sous-Bois. Comme chaque année, la Légion étrangère a dévoilé sa traditionnelle crèche de Noël, exposant cette fois les coulisses d'une bataille de la guerre d'Indochine, celle de Dong Khe, survenue en septembre 1950. « Mais pour que ça colle avec Noël, on fait comme si ça se passait en décembre », précise le légionnaire en charge de la visite.

 

Après avoir défini l'objectif de la mission et être monté dans une réplique de l'avion, les visiteurs arrivent sur le champ de bataille où à la fin du combat, la crèche apparaît. Un voyage dans le temps et fruit d'un travail de six mois de préparation et de deux d'installation pour les soldats de la Légion étrangère.

 

La crèche sera de nouveau exposée les 7 et 8 janvier, de 10 heures à 19 heures, boulevard du 25-Août-1944.

 

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28 décembre 2016 3 28 /12 /décembre /2016 18:41
La Légion d'honneur a été remise à Raymond Trouvé, qui aura 100 ans le 30 janvier 2017, comme l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre.

La Légion d'honneur a été remise à Raymond Trouvé, qui aura 100 ans le 30 janvier 2017, comme l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre.

LA NOUVELLE REPUBLIQUE
20 DECEMBRE 2016

Un siècle après sa création, l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre reste fidèle à sa devise, “ Mémoire et Solidarité ”.

Je ne souhaite pas que les jeunes passent par là où j'ai passé. Qu'ils connaissent les souffrances qu'on a connues dans les camps de concentration. Vive la paix ! Vive la France !

Les paroles, fortes, de Raymond Trouvé, dernièrement, au terme de la cérémonie du centenaire de l'ONACVG (Office national des anciens combattants et victimes de guerre), qui se tenait à « l'hôtel du peuple » de Tours, devant les autorités civiles et militaires du département (et près de 150 membres d'associations d'anciens combattants et citoyens), restituent bien les valeurs chères au cœur de l'établissement public d'État en charge de près de trois millions de ressortissants, dont 30.000 en Indre-et-Loire.
Né le 30 janvier 1917, orphelin de Poilu, pupille de la nation, ancien combattant de 39-45 (au 3e Régiment d'infanterie coloniale de Joigny, puis au 203e Régiment d'artillerie lourde), fait prisonnier en forêt de Charmes (dans les Vosges), évadé du Stalag XII-A (à Limburg, au nord du Rhin), rescapé du camp de Rawa-Ruska (en Ukraine), Raymond Trouvé a été fait chevalier de la Légion d'honneur le 14 juillet 2016.
Témoins vivant d'un siècle de conflits, il a grandi en même temps que l'Onac, émanation de l'Office national des mutilés et réformés (1916), de celui des Pupilles de la Nation (1917) et des Combattants (1926), qui fusionneront en 1935 et donneront naissance à l'ONACVG en 1946 (incorporant les déportés et internés).
Précurseur de la Sécurité sociale, l'Office reste aujourd'hui l'interlocuteur de millions de citoyens, au rang desquels les anciens combattants, bien sûr, mais aussi les victimes en opérations extérieures et les victimes d'attentats. Une exposition et un court-métrage, réalisé à l'occasion du 100e anniversaire, en ont retracé l'histoire. Par leurs lectures (lettres de soldats des différents conflits), par leurs chants (hymne des Bleuets de France, « Marseillaise »), les élèves de première du lycée Vaucanson et ceux de primaire de Vigny-Musset leur ont rendu un hommage sincère.

Olivier Brosset
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27 décembre 2016 2 27 /12 /décembre /2016 09:03
Voeux 2017
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23 décembre 2016 5 23 /12 /décembre /2016 18:02

L’enseignement de l’Histoire est l’objet de bien de commentaires. C’est la preuve de l’attachement des Français à leur passé et de leur sentiment qu’elle est une source d’inspiration pour relever les défis auxquels la France est confrontée aujourd’hui.

LETTRE ASAF 16/12 de décembre 2016 : Notre Histoire, un héritage capital pour la France.

L’enseignement de l’Histoire est l’objet de bien de commentaires. C’est la preuve de l’attachement des Français à leur passé et de leur sentiment qu’elle est une source d’inspiration pour relever les défis auxquels la France est confrontée aujourd’hui.

 

L’Histoire et les Français : 14-18, une leçon de confiance.
 

En diffusant aujourd’hui son cinquième numéro hors-série, consacré cette année à la Grande Guerre, l’ASAF participe au devoir de Mémoire. Cette publication de 200 pages, regroupant une quarantaine de textes et plus de 250 photos, vise en priorité à sensibiliser les Français les plus jeunes à leur Histoire mais aussi à mieux faire connaître l’histoire militaire dont certains aspects sont trop souvent occultés ou déformés.

L’ASAF souhaite à cette occasion que nos concitoyens prennent davantage conscience de l’extraordinaire mobilisation de toutes les forces dont notre pays a été capable pendant 52 mois, malgré les pertes et destructions considérables qu’il a supportées. Elle veut montrer comment notre armée a su s’adapter, en permanence, aux évolutions de la guerre au point de devenir, en 1918, l’armée la plus moderne et la plus puissante du monde avec plus de 3 000 chars et autant d’avions.

L’unité nationale - l’Union sacrée - et la capacité d’adaptation de la Nation furent les conditions fondamentales de la victoire. Elles le sont tout autant aujourd’hui pour espérer vaincre le totalitarisme islamique, notre nouvel ennemi, même s’il semble bien différent de celui d’hier. En effet, n’est-ce pas une mobilisation dans tous les champs de la politique et de l’ensemble des ressources qu’il faut décider et organiser pour reprendre l’initiative, éradiquer le terroriste d’aujourd’hui - celui qui tue comme celui qui soutient le tueur - et tarir la source dont il est issu ? L’Histoire nous rappelle que rien n’est impossible à notre pays quand les Français sont rassemblés. Encore faut-il que le but soit clairement identifié, expliqué, compris et partagé et que la détermination des chefs soit sans faille.

 

L’Histoire et le soldat : une exigence dans les opérations extérieures.
 

Le soldat envoyé aujourd’hui en opération extérieure ne peut pas ignorer la géographie des zones dans lesquelles il est engagé que ce soit sur le vaste continent africain ou au Levant, ainsi que l’histoire centenaire de la France et de ses soldats dans ces régions.

C’est pour lui un devoir et une nécessité s’il veut intégrer efficacement la mission qui lui est donnée dans le « cadre espace-temps » des régions où s’affrontent des peuples, souvent depuis des lustres, et parfois pour des causes analogues à celles d’hier. L’action militaire sera d’autant plus efficace qu’elle s’appuiera sur une bonne compréhension de la mentalité des populations, de leurs cultures et de leurs aspirations. Nous sommes bien loin du seul « cœur de métier » dans lequel certains voudraient cantonner les militaires, puisque de toute évidence les engagements opérationnels exigent d’eux une connaissance approfondie de l’environnement historique et géographique dans lequel ils évoluent. D’ailleurs, les peuples auprès desquels nous agissons ne s’y trompent pas. Ils nous sont généralement attachés et préfèrent les soldats français à ceux d’autres nations, car ils ont le sentiment qu’ils les comprennent mieux, d’autant qu’ils partagent souvent avec eux une histoire, une langue et des références culturelles communes.

 

L’Histoire et la France : un facteur d’identité et d’unité nationales.
 

L’Histoire de notre pays est longue et riche, mais n’est pas une suite ininterrompue de succès. Nos armées furent aussi vaincues et parfois cruellement, mais cette Histoire est l’histoire de notre peuple, de notre Nation. Nous devons l’assumer. Il ne nous appartient donc pas de juger le passé, telle action ou décision, surtout avec le regard et selon les critères d’aujourd’hui, mais plutôt de chercher à connaître les faits et à comprendre pourquoi telle décision a été prise, telle action a été conduite, telle politique a été menée.

Cette très longue Histoire constitue un héritage commun à partager et à s’approprier, mais aussi à enrichir et à transmettre. Elle est à la source de notre identité profonde et constitue un facteur d’unité sous réserve qu’elle ne soit pas instrumentalisée ou détournée. Car si tout ne fut pas glorieux dans cette Histoire, comme d’ailleurs dans la vie de tout homme, combien de personnages remarquables par leur courage, leur savoir, leur talent, leur générosité, leur vision, leur caractère nous sont offerts en exemple ! Ils sont source d’inspiration. Au moment où l’on s’interroge sur les raisons pour lesquelles des jeunes basculent dans le terrorisme, ne serait-il pas temps de proposer, non des modèles mais des références autres que des personnalités très médiatisées qui ne brillent que par leur fortune ?

Nombre de personnages historiques français et notamment des soldats ont suscité des vocations. Les ignorer aujourd’hui, c’est les oublier demain et les faire disparaître à jamais au moment où la jeunesse est en quête de repères et de valeurs.

Au contraire, mis en avant dans notre enseignement et par des productions audiovisuelles, ils pourraient contribuer activement à rassembler les Français par la fierté qu’ils éprouveraient et le besoin profond qu’ils ressentiraient de dépasser leurs intérêts immédiats pour servir la communauté nationale à laquelle l’Histoire nous rappelle que nous devons notre bien le plus cher : notre liberté.
 

 

 

LA RÉDACTION
www.asafrance.fr

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11 décembre 2016 7 11 /12 /décembre /2016 17:25

L'AALE 37 a participé à la cérémonie d'hommage aux "Morts pour la France" pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie le 5 décembre 2016 à Paris. 1000 drapeaux ont ainsi rendu hommage aux 100 000 morts en AFN.

vidéo de Joseph AUBRY

Photos de la cérémonie du 5 décembre 2016 à Paris
Photos de la cérémonie du 5 décembre 2016 à Paris
Photos de la cérémonie du 5 décembre 2016 à Paris
Photos de la cérémonie du 5 décembre 2016 à Paris
Photos de la cérémonie du 5 décembre 2016 à Paris
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Photos de la cérémonie du 5 décembre 2016 à Paris
Photos de la cérémonie du 5 décembre 2016 à Paris
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8 décembre 2016 4 08 /12 /décembre /2016 19:04
Gérard Aupetitalot (à g.) et James Bordeau ont reçu la médaille au titre de reconnaissance de la Nation.

Gérard Aupetitalot (à g.) et James Bordeau ont reçu la médaille au titre de reconnaissance de la Nation.

LA NOUVELLE REPUBLIQUE

6 DECEMBRE 2016

Les anciens combattants ont accueilli hier matin au monument aux morts les élus, le sous-préfet et les représentants des forces de l'ordre à l'occasion de la commémoration nationale de fin de conflit de la guerre d'Algérie.

Deux anciens combattants, Gérard Aupetitalot, caporal dans le régiment d'infanterie de marine et James Bordeau, première classe du troisième régiment de parachutistes d'infanterie de marine aéroportée, ont, à cette occasion, été décorés de la médaille au titre de reconnaissance de la Nation. Les décorations leur ont été remises par Régis Lorin, président de l'Union nationale des combattants (UNC) et Régis Barbier, président du comité d'entente des anciens combattants de Vendôme. « L'heure est à l'apaisement des souffrances. C'est un moment qui rassemble celles et ceux qui ont cette histoire en partage », exprimait le sous-préfet André Pierre-Louis, relayant le message du secrétaire d'État aux anciens combattants. André Buron et Jean Norguet, tous deux croix du combattant, ont rappelé lors d'un appel les cinq morts vendômois à l'occasion de cette guerre.
À l'issue de la cérémonie, André Fleury et André Buron ont reçu le diplôme du Souvenir français, tandis que René Beaufort, Gilbert Nowack et Gérard Crosnier recevaient la médaille de bronze de l'UNC et Jean-Claude Studert et le maire Pascal Brindeau la médaille d'argent. « Je suis ému de recevoir cette médaille, elle me fait penser à mon père qui a fait partie des vôtres et c'est un peu la sienne également », soulignait ce dernier. Le conflit compte aujourd'hui encore de nombreux soldats l'ayant vécu. « Le souvenir nous impose d'honorer nos morts, mais aussi, pour reprendre le beau titre d'un roman, de " réparer les vivants " », concluait Maurice Leroy au cours des allocutions.

A.L.B.
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1 décembre 2016 4 01 /12 /décembre /2016 19:10

OUEST FRANCE

18 NOVEMBRE 2016

Trois ouvrages consacrés à la Légion étrangère ont récemment été publiés et ils méritent tous les trois une mention dans Lignes de défense.

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Légionnaires, de Victor Ferreira et Bertrand Constant, aux éditions Mareuil, 158 pages, 20 €. Cet ouvrage de témoignages est le fruit de la collaboration d'un ancien officier de la Légion, Bertrand Constant, et d'un autre ancien légionnaire, l'adjudant-chef Ferreira. 64 légionnaires ont été photographiés et chacun d'eux a livré son récit, sous forme d'un court monologue.

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2e Etranger. 175 ans d'histoires d'hommes et de combat, d'André-Paul Comor, aux éditions Pierre de Taillac, 248 pages, 35 €. André-Paul Comor, qui enseigne à l'IEP d'Aix, est un spécialiste de la Légion à laquelle il a consacré, outre sa thèse (sur la 13e DBLE), quatre ouvrages dont un Histoire et Dictionnaire de la LE. Il publie chez Pierre de Taillac un ouvrage très bien illustré et documenté sur le 2e REI.

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Nouvelle histoire de la Légion étrangère, de Patrick de Gmeline, chez Perrin, 652 pages, 26 €. L'auteur a déjà publié une quarantaine de livres d'histoire militaire; ce n'est donc pas un novice. Mais  il n'avait jusqu'alors rien écrit sur la Légion. L'auteur a d'ailleurs hésité. Pourquoi un nouveau livre? Patrick de Gmeline explique sa démarche dans l'introduction qu'il ne faut pas négliger car elle précise sa démarche et son ambition. Pour le reste, ce livre de référence prolonge, jusqu'en 2016, l'histoire de la glorieuse unité.

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1 novembre 2016 2 01 /11 /novembre /2016 19:21

CENTRE PRESSE AVEYRON

29/10/2016

L’embellie annoncée au plan national peut masquer une vision lucide de la situation du BTP pour l’ensemble du territoire. En 2016, le BTP aura continué à perdre de l’emploi ». Si le contexte global n’est cette année encore pas au beau fixe, 2016 aura cependant été marquée par la « bouffée d’oxygène » qu’a représenté l’arrivée de la 13e Demi-brigade de Légion étrangère sur le Larzac... et les nombreux chantiers nécessaires pour accueillir les soldats. « Cela représente aujourd’hui 40 M€ pour les seules entreprises aveyronnaises », se réjouit Daniel Druilhet, le président de la FBTP de l’Aveyron.

Alors certes, le BTP a perdu 1 300 emplois en 5 ans dans l’Aveyron, les marchés publics sont en recul au bénéfice du privé, du fait de la « frilosité de certains élus », affirme le président. Par ailleurs 30 à 35 % des entreprises du BTP ont vu leur trésorerie continuer à se dégrader l’an passé, même si les « survivants » n’envisagent plus de licencier en 2016... pas plus qu’ils n’envisagent de renforcer leur effectif.

Seule la manne de la Légion aide à faire passer la pilule, d’autant qu’il y aura encore du travail jusqu’en 2020 entre construction du collège, de la piscine, du gymnase et des maisons individuelles des soldats. Selon le général Barrillon, directeur de l’Esid (Établissement du service d’infrastructure de la défense) du Sud-Ouest, « 70 % des marchés (soit une vingtaine) ont été attribués à des entreprises aveyronnaises. Ce chiffre va monter encore avec les marchés qui restent à attribuer ».

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